Amour défendu

des animaux à travers ses écrits varie fortement d'un poèmes à l'autre et rend l'étude des textes très intéressante. Le but de l'auteur varie en fonction de l'époque où il écrit son œuvre et tous ont un point commun, la cause animal y est toujours défendue. J'ai choisi dix poèmes, tous aussi intéressants les uns que les autres. 1) L'hirondelle au printemps cherche les vieilles tours 2) La Coccinelle 3) Le Hibou 4) J'aime l'araignée et j'aime l'ortie 5) Une groupe tout à l'heure

propre, en revanche,est pour lui un sentiment né de la société et qui s'inscrit dans un processus de comparaisons constantes, ce qui entraîne vanité et orgueil. Par ailleurs, il ne peut jamais être satisfait, il est synonyme de vanité malheureuse. Cet amour-propre est qualifié de "féroce" et rousseau le distingue du "désir de se conserver" qui correspond, comme nous l'avons vu, à l'amour de soi. Il est important de noter que Rousseau établit un lien chronologique entre les deux figures : l'amour de soi

françaises. La cour de France est le seul lieu auquel il aspire : il en apprécie les dames, les jeux, les poètes et les échanges amicaux. Il aime les femmes, ses protectrices et amies, auxquelles il a dédié une grande partie de son œuvre. On lui prête un amour chaste pour Anne d’Alençon, nièce par alliance de Marguerite de Navarre dont il est le valet de chambre depuis 1519. Il construit d’ailleurs, en 1538, le deuxième livre de ses épigrammes autours de son prénom. L’ensemble de son œuvre apparaît comme

Quel temps est utilisé pour marquer la prédiction ? 5) a) Quels sentiments Tristan et Iseut éprouvent-ils après avoir bu le philtre (L 1 à 6) ? b) Expliquez la métaphore (l’image) dans les lignes 13 à 16. 6) Citez la phrase qui unit les termes « amour » et « mort ». A quelle suite peut-on s’attendre ? Ecriture : La servante raconte à une amie sa tragique erreur. Rapportez le dialogue entre Brangien et son amie. Respectez la présentation du dialogue. Utilisez le champ lexical du remords et montrez

le trio de mari, et la femme de l'amant. Dans « Tartuffe », Molière s'attaque à l'hypocrisie et à la fausse dévotion tout en faisant rire. A la scène 4 de l'acte I, Orgon exagère en se préoccupant plus de Tartuffe que de sa propre famille, son amour pour Tartuffe en devient presque une obsession. De plus, les nombreuses répétitions de « pauvre homme » par Orgon participent à cette exagération et produisent ainsi le comique de scène. Tartuffe lui aussi amplifie son comportement de « dévot parfait

". Eh bien je me nomme Afafe, un nom rare mais qui a beaucoup de significations, je veux transmettre au gens a qui j'ai eu le pouvoir de leur avouer mon amour a voix haute ou basse et a ceux à qui je n'en ai jamais eu le culot, je veux leur accentuer a quel point ils ont compté pour moi, et a quel point leur existence me noyer de plaisir. Je promets de laisser libre cours à mes pensées, et je citerais les détails les plus alarmants comme les plus beaux car ce que j'ai vécu mérite d'être raconté

d’ignorer ce que nous valions devant la mort » Jean Guéhenno. Sentiment personnel ≠ gloire d’appartenir à une nation victorieuse.  contradiction dans la façon de voir la guerre : horreur (guerre imposée) et attendrissement (façon dont on a fait face). Amour de la vie : plaisir des choses simple répond à l’angoisse (vivre, manger, écrire des lettres). Valeur culturel de la nourriture : acte social qui respecte des manières (couverts, etc.). L’amour de la vie est tourné vers un « après ». Ces joies simples

physique et moral plus détaillés qui donnaient une idée claire sur les références et les goûts de ses parents. Elle éprouvait une grande admiration pour le père qui avait une grande influence au domaine de la littérature et qui lui a inculqué son amour pour la langue et la lecture. Elle décrit sa mère comme une femme belle, douce, parfois autoritaire et surtout religieuse jusqu’au dévouement. L’extrême piété de la mère influençait énormément Simone. Pourtant elle évitait tout le temps de répondre

trouve une forme d'ascétisme en philosophie : le stoïcisme apparaît dès le IIème siècle avant JC avec Epictecte, Pascal, Descartes. D'après ce principe, le malheur vient du fait que nous plaçons le bonheur en des choses qui ne dépendent pas de nous (amour, santé, richesse, honneur). En attendant de la fortune ou autres notre bonheur, nous serons toujours déçus. Il faut donc parvenir à rester impassible devant les choses qui ne dépendent pas de nous. Il ne faut pas ajouter de souffrance imaginaire

noble (Dom = particule nobiliaire) mais dès le premier acte, il est dépeint par Sganarelle comme « un grand seigneur méchant homme (I, 1)». C’est un noble qui utilise les privilèges de son rang mais qui ne reconnaît ni ses devoirs ni ses engagements (amour, famille, dettes…). Le seul moment où il reste fidèle au code d’honneur de sa caste c’est lorsqu’il se bat pour sauver Don Carlos (III, 2). Dom Juan est un personnage du défi et de la transgression. Il défie et transgresse les lois de la justice humaine