Allumer le feu

est très embêté parce qu'il doit le saluer c'est réglementaire […] alors il se rend compte qu'il est légèrement ridicule et il s'en retourne chez lui en courant il allume un grand feu en pleurant […] et il se couche sur le brasier avec une grande flamme blanche comme oreiller et il ronronne tout doucement comme le feu comme les chats quand ils sont heureux et il rêve aux bons tours qu'il va jouer au bon Dieu." (Jacques Prévert / 1900-1977 / Paroles - Ecritures saintes) "Les paris

gros sel sur le sol pour se prémunir du mauvais sort. La belle-mère dépose alors du sucre sur la langue de la mariée. Sa bru devient une "épouse sucrée »: plus aucune parole désagréable ne franchira ses lèvres. Les hommes tirent alors des coups de feu pour souhaiter longue vie au couple. Ensuite, les convives se dirigent vers le lieu de la fête. La mariée n'apparaît que lorsque le premier plat est servi. Un homme influent de la famille de son époux s'approche d'elle et soulève son voile. Il tire

quand je suis anxieux(se), préoccupé(e), inquiet(e) 4. Le plaisir de fumer commence avec le geste que je fais pour allumer ma cigarette. 5. Dès que je ne fume pas, j’en suis très conscient et je ne peux contrôler le désir de fumer 6. Je fume quand je suis avec d’autres fumeurs pour me faire accepter par eux 7. Je fume quand je suis triste, déprimé(e) 8. Je prends plaisir à allumer une cigarette 9. Quand je n’ai pas fumé depuis un moment, j’ai vraiment une envie irrésistible de cigarette 10.

Troisième Poème : Plus près de nous Courir et courir délivrance Et tout trouver tout ramasser Délivrance et richesse Courir si vite que le fil casse Au bruit que fait un grand oiseau Un drapeau toujours dépassé. Georges Braque, Oiseau de feu, 1958. <<Délivrance>> : l'oiseau est un animal qui représente bien la délivrance car il est libre de ses actes. <<Courir si vite que le fil casse>> : Il vole si rapidement que, parfois, on perd le fil de ses mouvements à travers les airs. Nous avons

avait déjà un qui allait à l'école. De ces huit enfants naît Djalla-Maria Longa, qui se situe au milieu. Depuis ce jour là, jusqu'à l'âge de seize ans, celle-ci va devoir trimer pour les corvées familiales, elle devra travailler, faire la lessive, allumer le feu, faire à manger, aller chercher de l'eau, s'occuper de ses petit frères et sœurs.....Djalla ne supportera pas longtemps ce mode de vie. A l'âge de seize ans elle s'oppose franchement à ses parents et notamment à son père. C'est la première fois

armé d’une carabine et d’un couteau dans l’école Polytechnique de Montréal. Vers 17h, il rentre dans une classe d’ingénierie mécanique composé de 60 étudiants. Il demande aux hommes et aux femmes de se séparer de chaque bord de la classe. Il ouvre le feu sur les étudiants pour en tuer six et en blessés trois après avoir dit : « Vous êtes des femmes, vous allez devenir des ingénieures. Vous n'êtes toutes qu'un tas de féministes, je hais les féministes. »[footnoteRef:1]. Marc Lépine continue son attaque

* alcool * alcohol, n. * alcool * liquor (US), n. * algue * seaweed, n. * allégé * low (fat), adj. * allégé * reduced (sugar), adj. * allonger (une sauce) * extend (a sauce), v. * allumer * turn on, v. * allumer (feu) * light (fire), v. * allumette * fried matchstick potato, n. * allumette * puffed pastry strips, n. * alose * shad, n. * aloyau * sirloin, n. * alterner * alternate, v. * amande

fosse, comblée de neige. Il faisait plein jour, la blancheur était sans bornes et éclatante, sous la tombée continue des flocons. Cependant, la Lison filait à une vitesse moyenne, n'ayant plus rencontré d'obstacle. On avait, par précaution, laissé allumés les feux d'avant et d'arrière ; et le fanal blanc, à la base de la cheminée, luisait dans le jour, comme un œil vivant de cyclope. Elle roulait, elle approchait de la tranchée, avec cet œil largement ouvert. Alors, il sembla qu'elle se mît à souffler

Ils n'ont jamais vu directement la lumière du jour, dont ils ne connaissent que le faible rayonnement qui parvient à pénétrer jusqu'à eux. Des choses et d'eux-mêmes, ils ne connaissent que les ombres projetées sur les murs de leur caverne par un feu allumé derrière eux. Des sons, ils ne connaissent que les échos. « C'est à nous qu'ils sont pareils1! » Que l'un d'entre eux soit libéré de ses chaînes et accompagné de force vers la sortie, il sera d'abord cruellement ébloui par une lumière qu'il n'a

caverne de Platon caractérise bien l’idée de Kant. Dans une caverne souterraine, des hommes sont enchaînés et n’ont jamais vu la lumière du jour. Ils ne voient que les ombres des choses et d’eux-mêmes sur les parois de la caverne, projetées par le feu allumé derrière eux. Les sons qu’ils perçoivent ne sont que des échos. Un des prisonniers est libéré et ramené à la surface, à la lumière du jour. Il est ébloui par celle-ci car il n’est pas habitué à elle. Lorsqu’il revient sous terre et fait partager