Alleu

Paris : Éd. du Moniteur , 1990 Anglais économique et commercial (1990) , Bernard Dick, Freddy Goodman, Léon Saravas, Paris : Éd. Licet , 1990 Le Courrier des affaires en anglais (1989) , Stephen Laughton, Patrick J. Rogers, Robert Olorenshaw, Alleur ; [Paris] : Marabout , 1989 Company to company (1988) , Andrew Littlejohn, Cambridge ; New York ; [Levallois-Perret] : Cambridge university press , 1988 Company to company (1988) , Andrew Littlejohn, Cambridge ; New York ; [Levallois-Perret]

l’eau. C) Se soumettre 1. Les paysans dépendent des seigneurs La terre exploitée par le paysan appartient le plus souvent au seigneur. C’est ce qu’on appelle la tenure. Les terres que le seigneur exploite en direct constituent la réserve. Les alleux sont les terres sans maitre, libres. Mais elles sont très peu étendues. Le seigneur peut être un laïc ou un ecclésiastique, voire une abbaye. En échange du droit d’exploiter la terre, le paysan doit des services (les corvées) et des redevances,

médiéval et aidera les élèves à saisir le sens des chansons de geste ou des romans courtois. Dès les cinq premiers chapitres, divers aspects de la société médiévale sont évoqués. ACTIVITÉ n° 1 Donnez un titre à chaque groupe de mots : Groupe 1 : Un alleu, un fief, la glèbe, une tenure. Groupe 2 : Un baron, un clerc, un écuyer, un gueux, un manant, un manouvrier, un palefrenier, un portefaix, un rustre, un serf, un valet, un vassal. Groupe 3 : Des brodequins, une bure, des chausses, un pourpoint

ou de transmission. Certaines terres relèvent d’une seigneurie (manor, senñoro), les autres sont libres. La propriété paysanne varie selon les pays : 40% en F, 25% en Angleterre, 20% en Espagne). La terre est tenue de trois manière, en propriété (alleu, freehold, pas d’alleux en Espagne sauf en Castille), ou tenure féodale (copyhold, baille à rente) ou en location (fermage et métayage : leasehold) suivant des baux de durée variable. En Angleterre, l’évolution privilégie des baux de plus en plus

aussi un droit au seigneur .(droit de transaction)Il y a aussi les corvées en nature, travailler un nombre de jour par an .Il y a aussi les banalités, utilisé certaine chose du seigneur ,.Le four du seigneur . B : les exceptions et limites . Les alleux , les terres qui échappent toute la charge précédente .C’est un système ancien en déclin durant toute la période moderne .Car il y a une volonté de contrôle l’ensemble des terres .En bourgogne , l’auvergne ou le Midi . Dans le Midi il y a une présence

qui influent, de nos jours, de plus en plus sur la pensée et l’éducation des jeunes. Ainsi, la France semble être représentée d’un point de vu mondiale, comme dirigé (et dominé) par la gente masculine.  Ce mode de vie nous ayant été légué par nos alleux(mais en changement aujourd’hui) ; en effet, la politique (au même titre que toutes les activité importantes) est « traditionnellement » une affaire d’hommes en France. Ceci étant, les femmes peuvent aujourd’hui percée dans le domaine de la politique

d’insécurité relative, certains propriétaires restent en dehors du circuit féodal, qui ont des alleux qui sont fortunés mais qui sont seuls. Ils cherchent à devenir vassaux alors pour entrer dans la vassalité d’un grand, il vont le voir et lui offre leurs terres, ils renoncent à leurs alleux et les seigneurs les acceptent comme vassaux, ils leur rendent la terre qui est devenu un fief. Ce type de terre ancien alleu devenu fief, quand le seigneur le rétrocède est appelé le fief de reprise. Le fief remis

certains biens qui échappent à ce démembrement et qui concerne l’aspect de la propriété romaine pleine et entière. Les terres sur lesquelles les trois éléments éclatent sont les tenures féodales. Les terres où ces trois éléments restent reliés sont les alleux. 1) Les tenures féodales, des propriétés démembrées Au 11e siècle, le processus de féodalisation est achevé et les démembrements de la propriété s’inscrivent dans le cadre de la seigneurie banale. Dans la seigneurie banale, on trouve deux masses

certains biens qui échappent à ce démembrement et qui concerne l’aspect de la propriété romaine pleine et entière. Les terres sur lesquelles les trois éléments éclatent sont les tenures féodales. Les terres où ces trois éléments restent reliés sont les alleux. 1) Les tenures féodales, des propriétés démembrées Au 11e siècle, le processus de féodalisation est achevé et les démembrements de la propriété s’inscrivent dans le cadre de la seigneurie banale. Dans la seigneurie banale, on trouve deux masses

léguer à ses fils. – Les alleu(x) qui sont les terres agricoles qui échappent en partie au système seigneurial, ce sont des terres sans saigneur. Lorsque le système seigneurial se met en place, le seigneur va contraindre les paysans à reconnaitre son autorité et à abandonner leurs terres. Cependant, un certain nombre de terres vont échapper à l’autorité seigneuriale. Ce sont des terres libres, sur lesquelles le paysan est son propre seigneur. Pendant le Xe, XIe et XIIe, les alleux vont subir une pression