Adolescent Révolte

œuvres on y trouve des pièces de théâtre, des romans, des nouvelles , des poèmes mais aussi des films. Dans certaines de ses œuvres, il y développe un humanisme basé sur la prise de conscience de l'absurdité de la condition humaine mais aussi sur la révolte. Il critiquait le totalitarisme soviétique, il est alors rejeté des communiste avec Jean Paul Sartre. Sa réputation dans le monde augmente alors et il reçoit le Prix Nobel de Littérature en 1957. Camus ne soutenait aucune « famille » politique.

origines : Pages 4 à 6 A) Le contexte économique : p4 B) Le contexte politique : p5 C) Les contextes social et culturel : p6 II) L'implication de la jeunesse : Pages 7 à 12 A) Le récit historique : p7-10 B) Les conséquences : p11-12 III) Des révoltes soutenues par d'autres acteurs : Pages 13 à 18 A) Le milieu ouvrier : p13-15 1) -Le récit historique : p13-14 2) -Les conséquences : p15 B) L'implication des artistes : p16-19 Conclusion : Page 19 Sources : Page 20 Annexes : Pages 21 à

Fiche de lecture Fiche de lecture du livre « L'été rouge : Chronique de la révolte populaire en France (1841) », de Jean-Claude Caron. « L'été rouge : Chronique de la révolte populaire en France (1841) », est un livre écrit par Jean-Claude Caron en 2002, et publié par Aubier, dans la « Collection historique ». Jean-Claude Caron est un historien français, docteur en histoire depuis 1989, et obtient sa thèse d'habilitation à diriger des recherches en 1999. Il est président de la Société d'histoire

dictateur trônant sur la place principale du centre-ville, là où le jeune marchand ambulant s’est suicidé. Tandis que Paris s’apprête à inaugurer une « Place Mohamed Bouazizi » et que ce dernier demeure une icône dans le reste du monde arabe en révolte, force est de constater que le jeune homme n’est plus en odeur de sainteté dans sa propre ville… Pourquoi ? Trouver une explication n‘est pas chose aisée tant les versions diffèrent. Certains avancent l’argument de l’acquittement de la policière qui

Mai 68 représente le mouvement de grève le plus important du XXème siècle. De mai à juin ont eu lieu des révoltes culturelles, politiques et sociales contestant la politique du Général De Gaulle. C’est tout d’abord une révolte étudiante parisienne qui gagne peu à peu la France et le monde ouvriers Origines politiques : La politique du Général de Gaule mise en place depuis 1958 ne plaît plus : une politique trop autoritaire, un président trop âgé ne répondant pas aux attentes de l’époque.

significations reconnus comme vrais et importants par " tout le monde ", c'est donc être entouré et soutenu pour croire à ce que l'on est, sans être travaillé par le doute." Le pari de Nicolas et Thierry ressemble donc à une révolte contre l'ordre social, mais c'est une révolte de notre temps, sans référence à une quelconque transcendance, sans eschatologie, sans prétentions collectives. Bien sûr, l'auteur s'amuse à faire voler en éclat le système établi dans lequel moisissaient ses héros, puis à étudier

monarchie «  louis-philipparde » est en effet associée au règne de l’argent et au triomphe de la bourgeoisie. En 1833, au moment de la rédaction de Lorenzaccio, la « Monarchie de Juillet » ou « Monarchie constitutionnelle » est déjà impopulaire. Les révoltes ouvrières et étudiantes se succèdent. Une désaffection générale par rapport à la vie politique se fait jour. L'histoire se déroule à Florence en 1537. L'Italie est à la mode et le siècle des Médicis et des Borgia fascine. La Florence du XVe siècle

grands de la terre Et nous, pauvres canuts, sans drap on nous enterre. C'est nous les canuts Nous sommes tout nus (bis). Mais notre règne arrivera Quand votre règne finira Alors nous tisserons Le linceul(4) du vieux monde Car on entend déjà la révolte qui gronde. C'est nous les canuts Nous n'irons plus tout nus.  » Anonyme, La Chanson des Canuts, 1831 Texte 2 Victor Hugo s'est opposé au pouvoir personnel de Louis-Napoléon Bonaparte. Il a écrit ce poème au moment où celui-ci se fait sacrer

La noblesse, après les défaites de Crécy en 1346 et de Poitier en 1356, est discrédité. Froissard livre ainsi que les cent premiers revoltés "dirent que tous nobles du royaume de France, chevalier et ecuyers honnissaient et trahissaient le royaume, et que ce serait grand bien qui tous les détruirait" Marquant ainsi clairement la rancoeur de ces premiers revoltés face à la noblesse. De plus, les grandes compagnies, lorsqu'elles ne guerroient pas pour l'un ou l'autre des partis, rançonnent le

d'un dieu châtiant on ne sait quel péché, ou bien retrouver leur dignité et leur liberté par la révolte, et la solidarité. Devant peste, résignation, désespoir ; seuls quelques uns d’entre aux seront se montrer courageux, et faire la seule chose possible dans ce cas-là : se battre de toutes ses forces contre le mal jusqu’à sa fin, se révolter contre lui. C’est l’un des thèmes principal du livre : LA REVOLTE DE L’HOMME. ABSENCE DE FEMME : ville est une forteresse assiégée par la peste, un lieu de bataille