Accords de Matignon

alors dans une alliance politique, le Front politique, qui remporte les élections législatives en mai 1936. Dans un contexte de grèves massives et d’occupation d’usines ,le président du conseil socialiste Léon Blum fait signer le 8juin 1936 les accords Matignon entre les représentants patronaux et ouvriers.Les avancées sociales sont importantes avec des hausses de salaires et la signature de conventions collectives. En augmentant le pouvoir d’achat, il s’agit de relancer la consommation et logiquement

1936, il y a de nouvelles législatives et c’est la victoire du Front populaire. Léon Blum est le président du conseil. Il y a de grandes grèves avec des occupations d’usines. B) Les réformes du Front populaire Le 7 juin 1936, c’est les Accords de Matignon avec une augmentation de salaire, droit syndical reconnu plus des grèves, conventions collectives, délégués du personnel. Ils sont complétés par des lois sociales votés au parlement avec la semaine des 40 heures et les 2 semaines de congés payés

la France. De nombreux grands principes démocratiques et républicains sont mis en place durant cette période : 1881-1882 : lois Ferry, l’école devient OBLIGATOIRE, GRATUITE et LAÏQUE ; 1905 : séparation de l’Eglise et de l’Etat ; 1936 : Accords de Matignon, gouvernement de Léon BLUM : 2 semaines de CONGES PAYES par an ; billet SNCF de congés payés à tarif réduit (création du sous-secrétariat d'Etat à l'organisation des loisirs et des sports des loisirs de Léo Lagrange) ; 40 heures de travail

colonies. En 1953, il accompagne de Gaulle dans un périple africain durant lequel il fait la connaissance à Abidjan d'Houphouët-Boigny. “la Foque” revient aux affaires en 1958, en étant nommé par de Gaulle au poste de conseiller technique à l'Hôtel Matignon, chargé des affaires africaines. Il s'affirme alors comme l'indispensable « Monsieur Afrique » du Gaullisme, homme de l'ombre du Général puis de Georges Pompidou. Il est des lors le “trait d’union” entre le president Français et le continent africain

notion d’intérêt général. L’administration n’est pas dépositaire des droits que les personnes privées. Elle est au service de l’intérêt général et non de l’intérêt particulier de chacun. Pour faire prévaloir la finalité d’intérêt général, on lui accorde des moyens exorbitants (régaliens) qui se défini par des prérogatives de puissance publique. Elle nécessite pour leur exercice un droit spécifique et pour leur contrôle, un juge spécialisé dans les affaires publiques. L’administration n’est pas

républicaine (1944-1958) 1) Le rétablissement de la République Les lois de Vichy sont annulées et l’ordre républicain est restauré. Les FFI sont intégrées à l’armée régulière. Les groupes de la Résistance intérieure sont désarmés. Le droit de vote est accordé aux femmes. De nombreux résistants renouvelle le personnel politique. 2) Le temps de l’épuration L’épuration spontanée s’abat sur des individus accusés de collaboration : les femmes qui ont eu des relations avec des Allemands sont tondues, 10

je me serais certainement plus volontiers fié à lui qu’à moi à mon sujet (…) C’est un assez grand miracle que de se doubler8. Son admiration pour la grandeur intellectuelle de son aîné s’allie à de profondes affinités culturelles et à un parfait accord idéologique dans cette période de guerres religieuses. Mais cette amitié dure peu. La Boétie meurt, sans doute de la peste, en 1563, conservant pendant trois jours d’agonie une force d’âme qui fascine Montaigne et qu’il veut faire connaître, d’abord

prévoie pas ce pouvoir de révocation, on voit mal un premier ministre s'accrocher à Matignon alors que le président lui aurait demandé de partir. Pourtant, certains présidents ont préféré prendre des précautions. C'est ainsi que le général de Gaulle a demandé à M. Georges Pompidou une lettre de démission en blanc ... M. Pierre Messmer nous a également confié en avoir signé une quand il est arrivé à Matignon après le départ brusqué de M. Jacques Chaban-Delmas. Les autres premiers ministres

par le président est quasiment réduite à néant.Chef d’Etat perd son droit de regard sur la composition du gvt puisque la propo° du 1er ministre vaut décision, il prend simplement acte.2 exceptions : affaires étrangères et défenses où un accord entre Elysée et Matignon est nécessaire.Le président perd sa capacité politique de démission du 1er ministre. B) Le référendumChef de l’Etat peut décider orga° d’un référendum, mais art.11 indique que cette décision doit être « précédée

communistes. Léon Blum (socialiste) dirige alors le gouvernement. Cette victoire électorale est suivie d’une vague de grèves dans les usines. Les ouvriers attendent ainsi des mesures sociales importantes, promises par les nouveaux dirigeants. Les accords de Matignon, signés par le patronat et les syndicats le 8 juin 1936 en présence du président du Conseil, Léon Blum, prévoient une augmentation des salaires de 7 à 15 %. Le droit syndical est renforcé et les conventions collectives, généralisées à toutes