Étude turquie
Grâce a son économie dynamique la dette publique de la Turquie est passé de 120% à 47% du PIB en 10 ans, elle fait désormais partie des 13 principales économies de la planète, son PIB a enregistré au 2e trimestre 2010 une croissance de 10,2%.
La Turquie compte une classe moyenne dont le pouvoir d’achat a doublé en une décennie, sa capital, Ankara est devenus le 7e partenaire commercial de l’UE avec qui les échanges s’intensifies.
Son économie comporte des failles malgré une forte croissance, Sa balance des paiements très déficitaire est financée par l’afflux d’investisseurs internationaux se qui peut être instable en cas d’arrêt d’investissement. Elle a aussi des problèmes au niveau de sa productivité qui progresse peu et la main d’œuvre y est 3 fois plus chère que celle des autres pays émergent telle que les BRIC ou les autres pays du CIVET.
Mais la question qui se pose depuis leur émergence c’est : faut t’il les accepter dans l’union européen ?
Dans ces documents la réponse est plutôt négative car il y a de nombreuse objection à l’entré de la Turquie notamment une réticence par rapport à l’état de droit et la liberté d’expression dans le pays.
Un des plus grands freins à l’entrée de la turquie c’est que 95% du territoire se situe au-delà du détroit du Bosphore.
Mais aussi ce que lui reproche quelque pays comme la France ou encore l’Allemagne c’est sa normalisation avec les Chypres qui n’avance pas et le refus d’Ankara d’ouvrir ses ports aux navire