Introduction le plaisir de conter, une fable divertissante un lecteur transporté dans un espace de fantaisie *Le divertissement passe déjà par la délocalisation, un espace imaginaire, qui fit rêver (suscite l’imagination) v1. Les contes adoptent la même technique. Le rêve est suscité par le mot « légende » renvoi à l’imaginaire avec « disent » mis en relief avec l’enjambement au v2. Un espace imaginaire avec v3 « un fromage de Hollande » appartient à l’Europe. Cependant cette allusion à l’Europe attire l’attention par le mètre du vers (v2 alexandrin v3 octosyllabe). L’espace imaginaire est développé par un nom de ville « Ratopolis ». Référence à l’Orient avec les « Dervis » à la fin qui est un religieux turc musulman. *Il désoriente le lecteur, va permettre au lecteur d’écouter l’histoire de façon attentive. 2-un jeu sur l’animalité et l’humain *Constant va et viens sur le domaine animale et humain. V2 « le Rat » a un comportement humain et y a un rappel animalavec « fromage de Hollande ». Associé à un personnage v7, et on parle de ces pieds v8 La Fontaine joue sur les deux registres en même temps. Possède la parole et écoute ces comparses, vivent dans une République mais ambiguïté avec « peuple chat » et « peuple rat ». *La confirmation du gommage des deux domaines v31 « sa porte ». 3-l’art du récit *Il conduit son récit de façon très rapide. Evocation du cadre v1/v7 se fait en deux phrases, cadre cerné, description rapide des activités du Rat. Un enjambement avec « le vivre et le couvert » un rejet qui montre la rapidité de l’accumulation de la nourriture. *v1->v12 décor une sorte de situation initiale avec les circonstances. *éléments qui fait évoluer le récit v13 « un jour », récit constitué d’un dialogue. Un dialogue où le narrateur rapporte les paroles du peuple rat v14->v23 répond le discours direct celui du Rat 6 vers v24->v29. Deux discours qui font sortir la différence entre les deux. Prise de parole en second