étude de cas
1. Je crois que ce qu’a fait Frank n’est pas éthique puisqu’il a accepté de payer des sommes d’argent à des gens mal intentionnés. Nous pouvons considérer cet acte comme un acte de corruption. Ceux-ci voulaient profiter du fait qu’il soit un étranger pour lui charger des extras pour l’obtention de services pour lesquels il avait déjà payé. Faire payer des sommes d’argent supplémentaire n’est certainement pas égale puisque ce n’est pas tous les clients qui doivent les payer. De plus, Frank savait que ce n’était pas bien et il l’a fait, car les employés étaient trop lents. Cela nous laisse croire que dans cette situation, il y a eu inégalité et discrimination. Cette situation ne fait pas preuve de justice, il est illégale de faire payer deux fois pour une seule livraison et ne respecte pas les règles d’éthique. Cependant, cette action est très répandue dans certains pays, mais selon notre éthique Nord-Américaine, ce n’est pas considérer comme acceptable. En outre, je ne crois pas que ce soit plus éthique pour les Latinos de faire cela, mais c’est beaucoup plus toléré qu’ici.
3. Le type de paiement qui a été fait dans ce cas s’agit de pots de vin. En fait, c’est plus qu’une simple lubrification, parce que c’est une somme que Frank accepte de payer à chaque fois qu’il fait transférer ses machines plus rapidement sur des camions. C’est un extra qui est imposé pour que le travail soit fait dans des délais raisonnables malgré le fait qu’il paye déjà pour le service, c’est comme un deuxième paiement, mais fait illégalement. Il donne aussi une somme à un agent du gouvernement pour une machine défectueuse, il s’agit ici de subornation puisque Frank ferme les yeux sur quelque chose qui se passe dans son entreprise. Il n’y a pas eu d’extorsion, donc de recours à la violence.
6. Il est vrai que lorsque quelqu’un décide de faire des affaires à l’étranger, il faut se plier à certaines règles de douanes qui sont différentes des nôtres, mais par contre,