Éditorial crise grecque
Marc-Olivier Roy- 7 septembre 2012
En 2007, toutes les discussions économiques étaient rivées sur les États-Unis qui essayaient de se sortir de la crise économique qu’ils vivaient. Depuis un certain temps, la situation économique de l’Europe devient de plus en plus précaire. La Grèce reste le centre d’attention de la situation actuelle que vivent la plupart des pays européens. Un gouvernement inadéquat, de la mal-gérance, un manque de chance et la corruption ont fait en sorte que la Grèce s’est retrouvée dans sa situation actuelle qui devient pire en pire depuis 2009.
Premièrement, la dette face au secteur public. Une grande partie de l’économie grecque est fondée sur le secteur public soit environ 40% du PIB du pays. Ce secteur économique surdimensionné a fait en sorte que la Grèce s’est mise elle-même au cœur d’un cercle vicieux qui n’a vraisemblablement pas eu de fin. Le secteur privé ne peux fournir ce qu’il devrait selon les exigences ce qui fait en sorte que le publique peine à survivre et de ce fait, aide au fait que la dette publique Grecque ait dépassé le 100% du PIB.
Une autre grande cause de la crise économique grecque est le fait que le gouvernement est grandement corrompu. De 20% à 30% du PIB par années seraient détourné à des fins de corruption gouvernementale. En 2009, ont estimais que le montant gaspiller en pots-de-vin par les dirigeants du pays aurait été de 88 millions de dollars. Le montant en dollars gaspiller par la fraude fiscale serait d’environ 10 à 15 milliards de dollars par années. Ce gouvernement corrompu nuira certainement au retour de la prospérité économique en Grèce.
Le manque de chance et d’opportunisme a aussi crevé le cœur des Grecques. En 2009, le transport maritime et le tourisme grec ont tous deux subi un échec. C’est deux secteurs, très importants pour la Grèce, ont été la goutte qui a fait déborder le vase.
Le faible ratio exportations/importations de la Grèce a aussi fait en sorte