Conséquences de la crise grecque au niveau national
Le traité de Maastritch interdit les pays en crise d’avoir recours à l’aide de la banque centrale européenne. Le pays pour se financer doit donc avoir recours à l’aide d’organismes financiers extérieure qui sont eux même réticent à l’idée de prêter de l’argent au pays. Ils augmentent donc leurs taux d’intérêt, ce qui aggrave en fin de compte le problème de financement. D’autres part, c’est la mise en place de nombreuses politiques d’austérités, c’est a dire des politiques qui visent à baisser les dépenses et augmenter les recettes. Autrement dit, On supprime des postes, on baisse des salaires et on diminue les budgets attribués aux différends ministères. (ex : Les hôpitaux publiques ont vu leurs budgets diminuer de 40%) La production est fortement touchée, certains secteurs se sont carrément éteints car on ne pouvait plus financer les chaines de production. Le PIB à chuté de manière significative : De 2009 à 2012, le PIB est passé de 211 milliards d’euros à 171 milliards soit une chute cumulée 19%. Les deux secteurs phares de l’économie grecque sont sévèrement touché : Le tourisme et le transport maritime. Baisse de l’activité à Baisse des recettes fiscales. Et augmentation du chômage Pourquoi le PIB a t-il autant chuté ? à Baisse du pouvoir d’achat donc des achats Le chômage a augmenté : Plus d’un quart de la population active est au chômage.
Et notament l’apparition de nouveau phénomènes tel que : à Développement de l’économie de Troc qui fait que des secteurs entiers sortent de