R flexion g n rale
En moins d’une dizaine d’années, les réseaux sociaux ont bouleversé en profondeur les modes de communication, tant dans la sphère personnelle que professionnelle. Notre questionnaire avait comme but d’identifier le degré d'addiction, ainsi que la population dans laquelle on trouve une tranche la plus touchée par les réseaux sociaux.
Dans notre étude, nous nous sommes intéressés à l’aspect qualitatif de ce phénomène, et nous avons dégagé des chiffres importants et nous avons pu répondre à toutes nos interrogations.
Ce qui en ressort c’est que l’addiction aux réseaux sociaux s’est révélée plus forte que les autres addictions, elle est donc beaucoup plus difficile de s’en passer, puisque nous avons trouvé des personnes et avec des pourcentages importants qui ne pourraient plus vivre sans les médias sociaux. Nous avons donc compris que Les adolescents sont les premiers consommateurs des nouvelles technologies et sont considérés comme étant la population la plus exposée au danger de cette nouvelle dépendance. Si un adolescent passe beaucoup de temps sur son ordinateur et sur les réseaux sociaux, cela ne doit pas être considéré tout de suite comme problématique. Mais cela peut se compliquer à partir du moment où le jeune se sent obligé de se connecter.
Les gens passent la majorité de leur temps à communiquer, à chatter, et à faire des connaissances, ils ont trouvé dans l’internet et dans les réseaux sociaux ce besoin naturel de communication.
L’addiction au digital est donc bien réel et peut être dangereuse, on se trouve dans une société hyper connectée. Mais ce que nous avons trouvé bizarre c’est que les personnes ont conscients des dangers des réseaux sociaux et ils savent bien que ces derniers ont changé leur quotidien mais ils n’arrivent pas à trouver des solutions pour faire le contrôle sur leur utilisation.
Pour conclure, notre étude et notre enquête traite comme sujet les réseaux sociaux entre communication et addiction. Alors d'après les