L’étranger
Camille
Le narrateur, Meursault, est emprisonné pour avoir tuer un Arabe, mais il est condamné à mort parce qu’il avait un coeur de criminel : il a enterré sa mère sans larmes. Voilà commence le tragédie. Cet homme, employé de bureau, aime apparemment une femme , Marie, et est aimé par cette femme. Il ne s’occupe pas d’aucune personne et d’aucune chose. Durant sa vie, il vit comme un étranger même pendant son procès. Tout d’abord, on peut dire que cet homme est apathique. Pendant l’enterrement de sa mère, Meursault n’a jamais pleuré. Le lendemain, il s’est rencontré une amie, Marie, s’est baigné et a vu un film comique comme si rien l’était arrivé. A lire ce début, on crois que cet homme n’aime pas sa mère. Mais en lisant la suite, on trouve que Meursault est insensible sur toutes les choses : il a refusé le poste à Paris que son patron lui a offerte ; quand Marie a proposé le mariage, il a manifesté un sens de l’étranger. Tout lui est égal. Il semble que tout ne lui regarde pas. A son avis, rien ne peut changer sa vie. La mort de sa mère, le poste à Paris et le mariage font partie de la vie. Cela ne mérite pas d’étonnement. Pour lui, la vie est monotone : naître, grandir, travailler, marier, et enfin la mort. Le destin de chacun est fixé depuis la naissance : c’est la mort. Chaque jour, rien peut changer le fait que nous nous approchons la mort. Dans ce livre, cet homme n’a aucun espoir sur la vie. Pourquoi ? Achevé en mai 1940 et publié en même temps que Le Mythe de Sisyphe en 1942, L'Étranger est en partie la traduction romanesque des idées contenues dans cet Essai sur l'absurde. Après les deux guerres mondiales consécutives, l’homme suffre beaucoup physiquement et mentalement. Les morts dans les guerres suscitent des réflexions à l’homme. On commence à réflechir sur l’état et l’avenir de l’homme, à suspecter ou même nier le système existant. Certains trouvent que la vie est foutue et pleine de peine. Ils mettent en question