„L’heureux donateur” de rené magritte
René Magritte est un peintre surréaliste belge qui est renommé d’avoir mis sur ses toiles un mélange du mystère et du rêve à l’aide du dessin précis et figé. Il rejettait une réprésentation réelle d’un objet et il se concentrait sur la mise en oeuvre de la pensée du peintre sur un objet. Pour illustrer son style unique et poétique nous nous penchons sur l’analyse de l’une de ses oeuvres intitulée „l’heureux donateur”. Au premier plan, nous voyons la forme de la silhouette d’un homme qui est placée devant le mur. En face de lui s’étendent les ténèbres. Magritte incruste à l’intérieure de l’homme un paysage avec une maison entourée des arbres qui constitue le deuxième plan. C’est une sorte de la mise en abyme. Cela nous emmène à une autre dimension qui grâce aux couleurs du ciel ressemble soit à l’aube soit au coucher du soleil. Nous voyons quelques étoiles et la lune au dessus de la grande maison. De cette façon nous pouvons distinguer deux mondes : l’un sombre, obscure et vide et l’autre plain de vie, éclairé et iddyllique. À première vue, on a l’impression que l’homme est montré de dos comme s’il regardait soit les ténèbres soit la maison. À gauche sur le mur, il y a un immense grelot dont la présence semble être très importante pour la compréhension du tableau. Nous pouvons retrouver ce symbole dans toute l’oeuvre de Magritte. C’est un objet qu’on accroche au cou d’un animal ou bien avec lequel joue un enfant. Il devrait porter la joie par les sons pourtant le grelot de Magritte est posé sur le mur, muet et oublié. Peut-être est-il symbole de l’enfance, de la tristesse ou bien de la solitude. En revenant au titre de l’oeuvre, nous pouvons identifier la silhouette de l’homme sans visage à quelqu’un qui reste caché, qui ne veut pas monter son identité alors qui peut être un silencieux donateur. Tout en faisant l’analyse de l’oeuvre de René Magritte il ne faut pas oublier les mots du maître du surréalisme André Breton