L'espionnage pendant la guerre froide
La guerre froide commence en 1945 à la suite de la conférence de Yulta, cette guerre est avant tout un conflit, une sorte de course, de concurrence sur de nombreux plans, entre l'Amérique et la Russie c’est aussi une guerre idéologique. Durant cette guerre l’espionnage est devenu chose courante, et nombreux sont ceux qui en ont usé.
Mais qu’en est il de l’espionnage ? Regardons ensemble la définition que nous donne notre aimable dictionnaire : « L'espionnage est l'action qui consiste à épier, à observer les gestes et les actes d'un individu ou d'un groupe d'individus afin d'être renseigné sur leurs intentions. »
La nécessité pour l’un comme pour l’autre, c’est de connaître les points faibles de l’ennemi, que ce soit pour l’armement, les avancées technologiques, le nucléaire ou le spatial. D’ou les espions. Mais pour cela, le « rideau de fer » doit être franchi, leur rôle est donc de manipuler, afin d’infiltrer l’ennemi et d’en apprendre le plus possible. Il y a des agents volontaires, simples civils qui travaillent contre ou pour leur pays, par conviction ou pour de l’argent -chose fréquente – et les agents professionnels, plus connus, qui fonctionnent de la même manière (soit ils travaillent dans les bureaux des services secrets de leur pays, soit ils sont infiltrés dans le pays adverse, munis d’une « couverture », une fausse identité). Les espions réalisent un travail intensif et risquent leur vie à toute heure. Leur travail consiste en général à intercepter des informations sous toutes leurs formes, et les retransmettent à leur employeur, souvent par un message codé composé par ses soins, qui mettra alors beaucoup de temps à être déchiffrer, mais qui ne pourra l’être par les ennemis. L’informatique n’est pas utilisée. Il y a aussi les espions travaillant sur le terrain adverse cherchent aussi à donner de fausses informations, ce sont des désinformateurs. Revenons en aux risques, la plupart des espions démasqués