l'ami imaginaire
Tout d’abord, ce texte d’Inge Seiffge-Krenke explique que les amis imaginaires, qui apparaissent aux alentours de 3 et 7 ans, n’ont aucune raison d’inquiéter les parents. Au contraire, ils sont plutôt enrichissants pour l’enfant. Ces compagnons invisibles au physique changeant n’ont aucun pouvoir sur le jeune. C’est en fait l’enfant lui-même qui dirige l’ami imaginaire. Il peut modifier comme il l’entend les caractéristiques de son ami. Les amis imaginaires font généralement leur apparition pour soutenir les enfants. Lorsque ceux-ci vivent des situations difficiles, comme le divorce des parents, ils ont besoin d’extérioriser leurs émotions et c’est là que l’ami imaginaire prend de l’importance. Les compagnons imaginaires aident alors l’enfant à passer par-dessus ces étapes difficiles en agissant comme confident. Comme le mentionne l’auteure, ils servent également de conseiller moral. Lorsque les enfants sont incertains face à leur comportement, ils aiment pouvoir vérifier auprès de leur ami invisible s’ils ont bien agit. De plus, l’ami imaginaire aide l’enfant à développer son langage et son habileté à communiquer. À l’adolescence, plusieurs jeunes ont encore des amis imaginaires, mais qui, cette fois, transparaissent sous forme de journal. Ils perdent toutefois de l’importance et avec le temps, l’adolescent fini par l’oublier.
En sommes, Inge Seiffge-Krenke affirme que les amis imaginaires sont inoffensifs, voir positifs, pour le développement de l’enfant. Ce texte m’a appris plusieurs choses intéressantes par exemple que ces