L’Œuvre cornélien L’Illusion Comique fut réalisée d’abord à l’Hôtel de Bourgogne en 1636 et puis fut publié en 1639. Corneille écrivit cette pièce quand il avait 29 ans, au début de sa carrière. Cet œuvre fut écrit pendant une période de transition entre deux styles littéraires ; le Baroque et le Classicisme. Grâce à cette transition, L’Illusion Comique se déroule comme « un étrange monstre, » en empruntant les mots de Corneille lui-même. Il ne suivit point la règle des trois unités du Classicisme ; il y a plus qu’un décor, les intrigues qui se croisent et s’entrelacent, et l’action se passe en plus qu’un seul jour. De plus, un mélange des scènes tragique et comique, et la mise en abyme d’une pièce dedans une pièce, créent un spectacle instable et illusoire qui confond le spectateur délibérément. Les trois premiers actes avancent dans une manière comique. Il y a le personnage de Matamore, notamment, qui est une figure prise directement de la commedia dell’arte, une forme théâtrale italienne. En ces premiers actes Pridamamt, père de Clindor, va au magicien Alcandre pour découvrir ce que s’est passé à son fils. Alcandre lui (et nous) montre avec l’aide des spectres, et donc on voit se passer l’histoire d’un amour entre Clindor et Isabelle, celle-là dont Matamore (dont Clindor est suivant) et Adraste (un gentilhomme) sont amoureux. Isabelle est promise par son père à Adraste donc une compétition entre les trois hommes commence. La plupart d’action se tourne autour des bêtises de Matamore mais à la fin du troisième acte la comédie devient tragique quand Clindor tue Adraste et est condamné à mort. Après ça se situe le monologue d’Isabelle, qui on examine en plus de détail. Une tragi-comédie s’ensuit, finissant en la découverte que tous ce que montre Alcandre s’est passé dans une pièce ; tous cela était une illusion. Cette idée d’illusion est tellement importante en contexte du monologue d’Isabelle. Le monologue s’ouvre le quatrième acte et marque la saute à la