L’univers s’est formé depuis la nuit de temps et n’ira pas s’éteindre aussitôt, contrairement à l’homme qui n’est qu’«un voyageur entre la naissance et la mort » disait FREUD. D’où, cet extrait de l’œuvre de Jocab L. MORENO, dans « Psychothérapie de groupe et psychodrame. Introduction théorique et clinique a la socialyse », Editions RETZ-C.E.P.L, collection Les classiques des sciences humaines, Paris 1975, P11-12 ; émanant l’importance de l’univers étant comme un noyau de tout être humain.
Dans ce cas, est- ce que cette théorie puisse faire comprendre les préoccupations, les angoisses, les espoirs partagés par beaucoup d’êtres humains, le monde ?
Pour mieux répondre a cette question, on va voir, en premier lieu, l’homme dépendant de l’univers et en second lieu, on va anticiper l’homme étant un individu à part entière.
« L’homme dépendant de l’univers », l’univers a des définitions qui sont complémentaire mais chacun a sa spécificité. Comme : « monde entier », « l'ensemble de ce qui existe », « Le monde habité », « Milieu dans lequel on vit » C’est-à-dire que l’homme ne peut pas vivre isolement, il est toujours dans l’univers quoi qu’il fasse. Et, MORENO a dit : « l’homme est un être cosmique ». Cela veut dire que l’homme ne vive pas seulement dans l’univers mais ses actions et ses responsabilités vont dépendre à l’univers. Par conséquent, tout ce que l’homme fait, fera est dictés par l’univers. C’est parce que l’univers lui-même représente « la valeur suprême » que Moreno postule. Cette valeur, assoiffée par beaucoup d’êtres humains, est la place de l’univers qu’il faut retrouver afin de donner une valeur et signification de la vie. MORENO a dit : « c’est le devoir de notre époque que de retrouver pour l’homme une place dans l’univers ».
En un mot, tous les faits et les gestes : les préoccupations, les angoisses, les espoirs de l’homme se focalise à l’atteint de cette place.

Bien que l’homme soit dépendant de l’univers, on ne peut le nier