Une fois le destin me clouait à village Wilmers. Je voulais indiquer à mon ami Ilia kitup, le poète de Moscou, les coins typiques de Berlin.Il était déjà le minuit, nous avions de la faim et atterrissions dans un snack turc. Les deux vendeurs n'avaient rien à faire évident et buvaient son thé dans le calme.La musique du haut-parleur arrivait à mon ami de manière connue. Il reconnaissait la voix d'une célèbre chanteuse bulgare et chantait quelques strophes, les fait d'entendre les Turcs toujours la nuit la musique bulgare ? Je m'adressais avec cette question à Kitup qui étudiait l'anthropologie à Moscou (...). Il venait avec les deux vendeurs de snack dans la conversation. Ce n'est aucun Turc, ce sont Bulgares qui font seulement tellement, comme s'ils étaient Turcs, m'expliquait kitup, aussi le sang peu bulgare dans ses veines a. C'est probablement son camouflage de commerce. Mais pourquoi font-ils cela ?, demandais-je. Berlin est trop varié. On doit la situation non inutilement compliquer. Le consommateur est à cela habitue, ce qu'il est servi dans un snack turc par des Turcs bien qu'ils soient Bulgares dans la réalité, nous expliquaient les vendeurs. De la même façon le lendemain, j'allais à un restaurant bulgare que j'avais découvert récemment. Je m'imaginais, les Bulgares là seraient Turcs dans la réalité. Mais cette fois, les Bulgares étaient véritables. Pour cela les Italiens du restaurant italien se dévoilaient à côté comme Grecs Après eux aux coffres avaient pris en charge, ils étaient allés à la grande école de peuple pour apprendre là l'italien, me