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Ruralité et urbanite: ces mots ne veulent plus dire grand chose dans le monde global.

Une traversé en navire, un voyage en train, un vol en avion; la manière dont nous voyageons a évolué à la même cadence que les hommes. Aujourd’hui la distance entre les pays se comptent en heures! Il s’en suit que les trajets séparants les villes des villages sont aujourd’hui négligeables. Mais alors, serait-ce prudent d’avancer qu’il n’éxiste plus de barrières entre la ruralité et l’urbanité? C’est ce que certains experts commencent à affirmer. Avec la globalisation, il est vrai que tout se standardise. Les villes ainsi que les villages se transforment en sites industriels. Et c’est pourquoi les villages doivent pouvoir offrir les mêmes facilités et services que les villes. Ainsi, les différences entre les villes et les villages s’amenuisent et les définitions de la ruralité et l’urbanité se ressemblent de plus en plus. Cependant, il y a aussi d’autres réalités. Dans les pays tiers-mondistes les développements se font à plusieurs vitesses. Les différences qui existent entre les villes et les villages sont grandes comme l’Océan Pacifique. Une bonne illustration serait le pays émergeant qui se prénomme l’Inde. Là-bas on trouve des villes aussi développés que New-York mais aussi des villages oū les maisons sont toujours construites avec de la terre et de la paille.

Également, aujourd’hui nous sommes témoins à un retour aux sources des gens qui en ont le moyen. Ces gens travaillent en ville mais habitent à campagne. Ils préfèrent être près de la nature et de la terre. On assiste aussi au phénomène du tourisme vert qui est basé sur les touristes qui quittent leurs villes pour visiter un endroit ayant une beauté naturelle hors norme. Les cultures originants d’Asie aussi rapproche l’homme à la nature. Et dans ces pays, les villageois suivent leurs culture beaucoup plus que leurs voisins des villes. Plus ces villageois croiront dans leur culture,et moins nombreux