Vengeance d'outre mère
Ma chérie, je t'écrit aujourd'hui, en ce 16 novembre 2010, pour te dire à quel point tu me manque. Déjà deux longues années sans ta présence. Aujourd'hui, je t'ai mis des fleurs toutes fraîche, car celle qu'il y avait commençaient à ce faner, et je sais combien tu déteste les fleurs fanées ! Je suis aussi passer au pressing prendre ta robe que nous avions commander, je me suis dit que peut être un jour elle servirais a quelqu'un ! Ton père a réussi sont match de football. Oh si tu l'avais vue, il était si heureux, de si belles émotions l'envahissait que je ne put m'empêcher de pleurer. Ta sœur quand a elle, est toujours chez mamie, elle ne peut pas rester a la maison, elle dit que c'est trop tôt encore pour revenir ! Elle dit qu'il y a trop de souvenir pénible. Je la comprend a vrais dire, même pour ton père et moi, il se fait lourd d'entrée dans cette vieille relique. Trop de choses sont encrée dans ses murs, à commencer par ses rires de famille, d'une vraie familles que nous avions. Mais depuis ce jour, rien, rien n'est plus vraiment comme avant, même plus du tout. Cette famille que nous nous usons a faire vivre n'est plus celle que j'ai connue ! J'ai l'impression d'être chez notre voisine, tu c'est cette fameuse madame Gromeli, cette vieille femme aigris, qui n'a pour famille que ces foutue chats avec leurs trois poil sur le cailloux ! Ma chérie, j'en ai assez, je m'use à force de vivre enfermer ! Laisse moi te rejoindre, nous serions que plus heureuse toutes les deux. Ou est le bon temps, ou on riais, ou ton père, ta sœur toi et moi jouillons jusqu'à tard le soir au jeux de chevaux, ou toi et moi faisions du shopping jusqu'à ce que nos carte ne crient au secoure, ou je pouvais serpenter les rues la tête haute ! Aujourd'hui, ta mort n'a fait qu'empirer les choses, et sans toi je suis devenue la nouvelle Me Gromeli, celle que l'on dévisage en disant « Oh regarde qui voilà » « la femme qui n'a pas sue protéger sa fille » ! Tout les regard