Une critique
Commentaire critique :
Dans ce texte, un professeur de l’UCL répond à la question d’un étudiant concernant son choix d’étude, car celui-ci voudrait se diriger vers la politique. L’auteur est principalement subjectif, il prévient son étudiant et le conseil sur l’effet que la politique pourrait avoir à son égo. Il dénigre notamment les carriéristes, il dit que ceux-ci perdent leur indépendance d’esprit et sont contraints d’accepter ou de rechercher des situations auxquelles ils n’adhèrent pas, uniquement pour gagner leur vie. Pour moi, il faut absolument garder en tête ce pour quoi on a voulu être politicien ; garder sa personnalité, son idéal. Car en devenant un politicien, on devient un homme public et donc au service de la population. On ne doit pas seulement penser à notre petite personne, nos choix sont donc importants, nous avons une grande responsabilité vis-à-vis de l’Etat. On notera également que l’auteur s’appuie sur le fait que beaucoup d’énergie est dépensée pour peu de résultat. En s’exprimant ainsi, l’auteur expose une très mauvaise face de la vie politique qui risquerait de décourager l’étudiant à entamer de telles études. L’auteur aborde aussi le fait de ne pas trop promettre aux électeurs, ceux-ci sont plus intelligents que l’on ne le pense. Il est vraiment préférable de promettre des choses tenables. En effet, lorsqu’on entame une période électorale, on nous promet beaucoup et au final pas grand-chose n’est respecté. L’auteur attire notre attention, qu’aujourd’hui, dans la politique ce ne sont plus des hommes et des femmes qui nous sont présentés mais plutôt des images de marques. En citant : « j’ai la faiblesse de croire que la sincérité et la spontanéité sont contagieuses », il nous averti qu’il faut évidemment bien se comporter à la télévision, tout en gardant sa propre personnalité. Il est vrai que de nos jours trop de personnes se réfèrent à des critères universaux sans pour