Un poeme
Je me promène les 2 mains dans les poches,
Dans les champs et les montagnes, je passe à travers.
Sans ramasser le moindre échantillon de roche.
Je regarde au loin le paysage se dessiner
Soudain, à l'horizon, un mirage
C'était exactement à quoi je voulais assister.
L'apparition de quelque chose de merveilleux, ton visage.
Au loin, je peux apercevoir tes yeux noisette,
Une couleur qui m'apporte de la tendresse,
Celle qui me rappelle ma jeunesse.
Comment-t'apelles tu ? Janie, Élisabeth ?
À cet instant précis, je ne savais pas ton nom,
Mais j'ai compris tardivement,
Que tu as le plus joli prénom,
Janie, ma foi, quel nom émerveillant,
Je prends mon courage à deux mains,
Cette petite distance qui nous sépare, me semble si loin
A peine j'ai commencé à marcher.
Tu as saisis le message et tu t'es rapproché.
J'ai aperçu durant ma courte promenade,
Les fleurs écarlates, les oiseaux virevoltés.
Ce n’était pas un après midi digne d'une tornade,
Mais plutôt d'une nouvelle amitié.
Quand nos regards se sont croisés,
Mon cœur s'est arrêté,
C'est un moment que j'aimerais tant revivre,
Revivre avec nostalgie revivre cette rencontre qui m'aura changé
Par la suite, nous avons parlé de pleins de choses,
Nos passions, nos études, nos amis, et puis une pause.
Une pause qui me sembla durer l'éternité,
Elle dura quelques secondes en réalité.
Durant ces secondes,
J'ai compris que tu étais la plus belle du monde.
Tes doux cheveux au vent,
Créait en toi, un charme évident.
Ce n'est pas la seule chose que j'ai pu remarquer.
J'ai remarqué un sourire droit et blanc.
Un sourire qui dans mes pensés est omniprésent.
Encore aujourd'hui, j'ai les mêmes sentiments qu'autrefois,
Je désire te connaitre d'avantage en prenant notre temps,
Car je le sais si on prend notre temps
On sera heureux pour