Un nouveau point de vue sur le café
Au début des années 1980 les américains ne connaissaient que sortes du café.
Le premier sorte était une boisson d’une qualité douteuse qui était préparé soit en café soluble soit en café moulu. On pouvait le retrouver dans les maisons, les bistrots, les bureaux ou dans les plupart des restaurants. Ce café a été préparé à partir de grains appelait robusta le moins chère du mauvais qualité mais qui donnait un plus grand volume quantitative au produit final.
Le deuxième sorte était une boisson meilleur au qualité c’était une café arabica qui n’était disponible soit dans les restaurants chic ou dans les maisons des riches. Mais pour son préparation il fallait des grains du bon qualité et des machines à expresso.
Howard Schultz a décidé de changer la situation.
Il a suggéré aux consommateurs une cafétéria démocratique qui fonctionnerai sur le principe du libre-service. Mais cette cafétéria ne proposait qu’un simple café il n’y avait ni latte, ni capuccino, ni expresso, ni moka, ni macchiato, ni autres sortes du café. En même temps le client avait la liberté de choisir le type de boisson, la taille de tasses ou encore le type du lait et ainsi de suite.
Ainsi le principe des ces cafétéria ne choquait pas les clients. A Starbucks une personne prenait des commandes et une autre préparait le café c’est pourquoi le fil d’attende avançait beaucoup plus vite que dans les bistros.
Alors quelle est l’autre point de vue ?
Le succès de Starbucks c’est non seulement un modèle d’affaire réussit mais c’est aussi une autre approche pas très commune vers la psychologie des consommateurs. Sans cette approche, Starbucks serait resté un réseau régional dans lequel les vont juste pour boire un café. En effet, Starbucks a offert non seulement le café (en particulier pour les consommateurs américains) mais aussi une atmosphère inhabituelle du café lui-même. Ce service permettait aux gens de choisir