Travail saint henri
Né en 1909 Gabrielle Roy décida de combattre les préjugés de son métier et se lança dans l’écriture. Après un voyage de deux ans en Europe, elle revint à Montréal et fût agréablement séduite par un quartier particulier de Montréal. Ce fut le quartier de Saint-Henri. C’est alors quand 1945 elle écrit son premier roman «Bonheur d’occasion» dans lequel elle y écriva un passage strictement dédié à ce quartier de la métropole. Dans cette partie de l’histoire, on voit le quartier Saint-Henri de deux caractères complètement différents, soit de son caractère animé et de son caractère immuable.
Pour commencer, Gabrielle Roy nous montre de façon très clair à quel point Saint-Henri, était un quartier animé. Dans l’extrait suivant «La sonnerie du chemin de fer éclata. Grêle, énervante et soutenue, elle cribla l’air autour de la cabine de l’aiguilleur». Dans cette citation, on y voit une personnification alors qu’on attribu des caractéristiques humaine à la sonnerie du train. Ce passage du texte nous montre à quel point le quartier de Saint-Henri était bruyant lors des nombreux passages des trains qui se dirigeaient vers les usines avoisinante. On va comprendre de nouveau l’animosité du quartier dans ce second passage alors qu’elle décrit la foule et les automobiles «La foule, matin et soir, piétinait et des rangs pressés d’automobiles y ronronnaient à l’étouffé». Dans cet extrait il y a une sorte d’accumulation qui nous fait voir à quel point il y a des piètons et des voitures, comme de jour, comme de soir. Ce passage en lien avec l’idée principal nous démontre à nouveau que ce quartier de Montréal n’est pas de tout repos. Puis avec le dernier passage on revient encore une fois au mouvement des trains dans le secteur « Cependant que la terre tremble, que les trains dévalent, que la sirène éclate, que les bateaux hélice, rails et sifflets épellent autour de lui l’aventure». C’est une énumération a pour but