Apollinaire, alcools, apollinaire
Alcools est un recueil poétique écrit par Guillaume APPOLINAIRE et publié en 1913. Apollinaire n’appartient à aucun mouvement en particulier mais il a hérité du symbolisme et est considéré comme le précurseur du surréalisme. “Zone” s’agit du premier poème du recueil Alcools, cela lui donne ainsi de l’importance et de la valeur d’un manifeste. Le fait qu’il n’y est pas de ponctuation dans ce poème permet d’impliquer le lecteur c’est à lui de rythmer le texte ce qui constitue une …afficher plus de contenu…
V7 : on a une personnification avec le pronom personnel “tu” qui désigne la religion chrétienne.
V8 : le superlatif “le plus “ accentue ses propos surprenants, la religion est davantage associée à la tradition qu’a la modernité.
V9 : enjambement au vers suivant et une personnification avec “les fenêtres observent”.
V11-14 : « prospectus », « affiches », « journaux », « aventures policières », “titre”, Ce champ lexical unit ces 4 vers et associe la poésie classique en vers aux affiches qui sont brèves et qui ont comme un semblant de vers tandis que la poésie en prose elle est associé aux journaux. La poésie semble alors se moderniser. V11 : « les prospectus les catalogues les affiches », on a une accumulation Montre la fascination et …afficher plus de contenu…
V15 : Le fait que l'auteur évoque une seule et unique rue qu'il a vu à un moment précis de la journée nous fait alors comprendre que Paris moderne n'est pas une ville reconnue pour sa beauté puisque la rencontre d'un bel endroit semble complètement inhabituelle pour lui.
V17 : « Les directeurs les ouvriers et les belles sténo-dactylographes » on a une série des noms des métiers, Ces métiers semblent être de plus en plus présent à cette époque ce qui nous fait penser que Paris est une ville industrielle.
V19-22 : on a un champ lexical du bruit et 3 personnifications, « une cloche rageuse y aboie », «