Torrent anne hébert
L’emprise tyrannique de sa mère sur lui est distinguée par le pouvoir que celle-ci exerce sur lui ainsi que la façon dont le torrent le possède. En effet, la grande Claudine, la mère de François, a plusieurs valeurs telles que l’autorité qu’elle exerce sur son fils depuis sa naissance. Elle lui ordonne ses taches à accomplir puis décide de tout pour lui, il lui sert d’outil et est réprimandé pour presque tout. Claudine est imposante, violente puis use d’une telle méchanceté que son fils n’ose point la regarder dans les yeux ou encore moins la désobéir. « Je la devinais en pleine possession de son pouvoir. … Elle s’élevait au-dessus de tout, sûre de son triomphe final. » (p.35) Si confiante, cette femme détruit la vie de son fils, en partie en le rendant sourd. De plus, le cheval Perceval est un symbole de violence suscitée par Claudine. Elle ne réussit à le dompter et celui-ci résiste à son dressage. « Ce démon captif, en pleine puissance, m’éblouissait. » (p.36) François admirait Perceval pour sa ténacité et aimerait pouvoir tenir tête à cette incarnation du mal qui était sa mère. C’est pourquoi on dit que « le mal appelle le mal », car en semant le mal autour de soi on l’attire. Ensuite, François est posséder par le torrent. Le torrent est souvent situé dans la nouvelle et son champs lexical est beaucoup utilisé. On repère fréquemment sa description qui aide à