Malavita
Chapitre 1 :
La famille, qui se voit obligée de quitter leur domicile, emménage dans la maison, durant la nuit, dans la ville normande de Cholong-sur-Avre. Le lendemain, leur première journée commence : les enfants vont à l'école, la mère va faire le tour de la ville et faire les courses et le père lui reste à la maison. Ce dernier découvrit une machine à écrire, laissé par les anciens locataires.
Belle, se rendit à sa salle de cours. Warren, qui commençait qu'à 9h, décida de se promener dans l'école. Il se fit menacer et frapper par trois élèves. Warren récolta des informations sur les gens de l'école, afin de trouver de quoi faire "payer" ses agresseurs. Warren se fit une "gang" et ils frappèrent les trois agresseurs. Belle rentra chez elle (accompagnée par des gens de l'école) . Ils firent un détour et les 2 gars ont tenté une approche sur Belle. Celle-ci leur répondit violemment et partie avec la voiture.
On apprend que la mère, en épousant Frederick (avant appelé Giovanni), a tourné le dos à Dieu (ce qui veut dire que Giovanni n'est pas un homme "saint"). Lorsqu'elle faisait ses courses, elle entendit une conversation : les gens parlaient dans son dos (américain = mauvais). Elle se sentie blessée puisqu'elle tenta fort de s'intégrer à la nouvelle culture. Elle aurait supposément mit le feu à l'épicerie.
Le père rencontre un voisin et se fait passer pour écrivain. Il regrette presque de ne pas écrire de romans.
Chapitre 2 :
Écrits de Frederick (mémoires) : Il vaut 20 millions de dollars. Dans son ancienne vie, il aurait "prit soin" (empêcher de nuire) d'un homme valant la même somme (on apprend qu'il était assistant d'un hitman).
On apprend que Frederick (Giovanni) était chef de clan de la mafia new-yorkaise. Il s'est fait coincé par le FBI et a dû témoigner dans un procès qui a fait tomber les trois plus gros caïds de la côte Est.
Frederick et Maggie ont une dispute : elle trouve stupide l'idée de dire qu'il est écrivain. On apprend qu'ils