therese desqueyroux
Utilisez ce résumé pour comprendre un chapitre qui vous aurait posé problème. Bien sûr, il ne saurait remplacer une lecture complète et sérieuse de l'œuvre…
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Thérèse, son père et Duros sortent du palais de justice. Un non lieu a été prononcé. Thérèse était accusée d’avoir voulu tuer son mari. C’est une femme effacée, ignorée par son père qui craint les retombées négatives de l’affaire dans sa carrière politique. Elle est accompagnée en voiture jusqu’à la gare du Nizan. Elle y prendra le train qui doit la raccompagner jusqu’à
Argelouse, où son mari, Bernard, l’attend.
Dans la voiture, Thérèse s’endort et cauchemarde. Pouvait-on encore la poursuivre pour son crime ? Quelle serait la réaction de Bernard ? Arrivée à la gare, elle se souvient de sa jeunesse : pure et heureuse. Son amitié avec
Anne, petite fille élevée dans un couvent. Parallèlement, elle s’imagine un
Bernard capable de pardonner.
Présentation du hameau d’Argelouse. On y trouve deux métairies : celles des
Larroque et celle des Desqueyroux. Adolescente, Thérèse adorait y aller en vacances, sous la garde de Tante Clara. Elle se lia d’une forte amitié avec
Anne de La Trave et fréquenta son demi-frère, Bernard Desqueyroux. Tout le monde prédisait le mariage de Thérèse et Bernard.
On disait de Thérèse qu’elle l’admirait, mais elle souhaitait surtout se rapprocher d’Anne et posséder les propriétés de la famille Desqueyroux.
Le mariage avait éloigné Thérèse d’Anne, qu’elle considérait toujours comme une image de la pureté. Celle-là avait appris à feindre le plaisir et la joie dans les bras de son mari. Mais au fond, son attitude dans l’intimité la répugnait. Quelques temps plus tard (2 ans avant le procès), Thérèse reçoit une demande d’aide d’Anne qui s’était amourachée d’un jeune tuberculeux, Jean
Azévédo, qui s’était installé dans la propriété