Sénèque, la brièveté de la vie, chapitre 1
Chapitre 1
1. Annonce du sens commun : Sénèque déclare que pour la plupart des hommes, le vie est trop courte; qu'elle touche à sa fin lorque nous commençons seulement à vivre, qu'elle ne devient intéréssante qu'à la veille de notre mort. Ce phénomène commun à un grands nombre de personne est vécu comme un malheur.
2. Références au sens commun, apport de thèses auxquelles il n'adhère pas : Il souligne qu'il ne s'agit pas de sentiments populaires, en effet même des hommes illustres comme Hyppocrate considère que "La vie est courte, l'art est long", et d'autres comme Théophraste accuse la nature d'avoir donné une longue vie aux animaux alors que cela n'a pas d'importance et une vie brève aux hommes à qui cela importe beaucoup. Pour Sénèque cette accusation n'est pas digne d'un sage.
3. Oppsition au sens commun : Après avoir fourni des références au sens commun il va démentir ce propos en affirmant que la vie n'est pas trop courte, que le temps nous y permet un grands nombres d'accomplissements à condition que cet ensemble soit exaucé avec discernement. En effet toute vie fondée sur l'apathie c'est à dire dans le "luxe et l'indolence" est condamnée à s'éteindre.
4. Conséquence qui constitue sa thèse : Il conclut que c'est nous qui rendons notre vie brève "Nos n'avons pas reçu une vie brève mais nous la rendons brève" nottament par l'abondance de notre quotidien et notre désinteressement des choses utiles. Il donnera un exemple avec l'utilisation des ressources royales : un bon gardien les verra fleurir au fur et à mesure qu'il en fera bon usage. Il en est de même pour notre vie "elle s'étend loin pour qui en dispose bien".
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