Nous composons un groupe de trois personnes. Trois garçons :....., qui a de grandes facilités en mathématiques, ......qui pour sa part a des idées très originales et sait se poser des questions pertinentes qui font grandement avancer le raisonnement, et moi-même qui préfère la physique et qui dispose du matériel nécessaire à ce thème. Nous nous sommes tout d’abord positionné dans le thème de la mesure, car nous pensions qu’en combinant les mathématiques et la physique chimie nous tomberions dedans, et très vite lors de la première heure, l’idée d’étudier les mouvements des billes d’un boulier (ce mouvement pseudo-perpétuel perpétuellement retrouvé sur le bureau de nos médecins) nous est sérieusement apparue, après que nous ayons passé le cap de vouloir résoudre quelques questions existentielles (Comment éviter de faire fondre un glaçon au Soleil ?) qui nous ont vite semblées relativement complexes. Après questionnement des professeurs et réflexion, il s’avéra que le système du boulier n’était pas si complexe ni si intéressant à étudier, mais l’idée du mouvement d’une boule était dans nos esprit ; et finalement, après un passage vers d’autres sujets, nous nous positionnâmes sur le système du billard.
Dès ce choix, nous commençâmes les recherches sur Internet et nous trouvâmes une masse d’informations, ainsi que certaines vidéos très impressionnantes de billard professionnel qui nous mirent sur la piste de la problématique ; mais au final très peu exploitable pour nous. Nous nous sommes néanmoins penchés sur les dimensions. Nous trouvâmes donc le diamètre d’une boule, et donc sa masse, qui est standardisé, la longueur et la largeur d’une table de billard, mieux, l’on a trouvé un rapport largeur-longueur qui est de un demi. De plus nous découvrîmes un système de repère, appelé « mouche », qui se place à des distances fractionnaires tout le long des côté de la table de billard. Ainsi, la modélisation de ce système me parut simple : un repère orthonormé. La