Synthese sur la masculinité et la féminité
Les inégalités entre homme et femme est une question de société devenue centrale aux XXe et XXIe siècle, particulièrement dans les sciences sociales : place dans les fonctions dirigeantes (politique, entreprise, syndicats, églises, etc.), évolutions de carrière et de rémunérations, vie sexuelle, rôle au sein de la famille.
Nous sommes entourés de messages où les femmes paraissent faibles et les hommes forts, où les femmes sont meilleures pour s’occuper des enfants et les hommes pour gagner de l’argent. Nous sommes obligés de nous conformer à la norme masculine ou féminine, pour obtenir une identité reconnue par les autres, pour agir, pour penser, pour faire parti des humains. Quatre documents traitent du sujet de la masculinité et de la féminité.
Catherine David dans son article Le cerveau n’a pas de sexe ironise sur le fait que les différences entre les hommes et les femmes viennent de nos gènes et que nous ne pouvons pas luttés contre, que les hommes savent lire les cartes routières et les femmes sont bavardes et habiles de leurs dix doigts. Judith Butler dans son article Nous ne sommes pas sexuellement déterminés nous dit que l’école, l’église et la famille renforcent l’idée que les hommes et les femmes sont différents et que dés la naissance, l’enfant apprend à percevoir ce qui est acceptable en société. Elfriede Jelinek dans son ouvrage Les amantes fait une satire de la société en disant que les femmes sont destinées à coudre et que leurs destins sont imposés. Hubert Blatz dans son dessin C’est Dieu qui l’a voulu nous expose un stéréotype qui est que la femme doit faire les tâches ménagères. Les changements intervenus avec la montée progressive de la participation des femmes au marché du travail et l'élévation de leur niveau d'éducation, peinent à produire tous leurs effets, Si les parents sont un peu plus nombreux depuis dix ans à vouloir que leurs enfants poursuivent leurs études, les différences selon le