Stendhal - « le roman est un miroir qui se promène sur une grande route. »
Un roman est avant tout une histoire. Histoires d’une vie, d’un événement, visions du futur, tableaux de mœurs ou aventures hors du commun. Il s’agit du reflet d’une réalité ; qu’elle appartienne au monde imaginaire de l’auteur ou de la mise en mots de faits réels pour captiver le lecteur ou qu’elle appartienne à la perception que se fait le lecteur de l’image reçue.
Stendhal, proposait dans le Rouge et le Noir cette définition : « Le roman est un miroir qui se promène sur une grande route. Tantôt il reflète à vos yeux l’azur des cieux, tantôt la fange des bourbiers de la route. »
Nous comprenons ainsi que Stendhal voulait démontrer que le roman est un reflet de la réalité. Mais est-ce vraiment le cas ? Le roman réaliste doit-il nécessairement refléter la réalité ? Cette question occupe les esprits depuis les premières heures de l’Antiquité et nous essaierons ainsi de démontrer en deux parties distinguée que le roman est un reflet de la réalité mais cependant, que cette réalité a des limites, qu’en fin de compte il s’avère que le roman est une alliance entre la fiction et la réalité.
Et j'ai commencé a faire un plan de mes deux parties:
I) Le roman est un reflet de la réalité :
- mouvements littéraires
- respect des lieux et époques ( comme dans Bel ami )
- utilisation de la science
II) Les limites de son affirmation :
-science fiction
- volonté de réaliser quelque chose de beau
- l'écrivain modifie les aspects "selon ses choix , sentiments et ses sources