Socio Culturelle3320150323
Du côté de la clientèle, l’arrivée des baby-boomers sur le marché funéraire accentuera les changements déjà observés en ce qui concerne les rites mortuaires. Lorsque la religion faisait encore partie intégrante des pratiques funèbres, le modèle de base du déroulement d’une cérémonie funèbre se résumait ainsi : une, deux, voire trois journées d’exposition du corps au salon funéraire, une messe de funérailles à l’église, suivie de l’inhumation au cimetière. Aujourd’hui, les demandes sont multiples et les cérémonies religieuses sont nettement moins nombreuses. Selon l’Association des évêques catholiques du Québec, 23 000 funérailles (religieuses) ont été célébrées sur un total de 60 000 décès en 2013. L’année précédente, on a organisé 3 000 funérailles de moins pour un même nombre de morts. M. Leclerc rappelle que la génération des baby-boomers est celle qui a rejeté la pratique de la religion catholique. « Les baby-boomers ont tout décidé de leur vivant. Ils veulent déterminer comment ça va se passer lorsqu’ils seront morts. »
http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/general/l-industrie-de-la-mort-au-quebec-en-pleine-mutation http://www.protegez-vous.ca/affaires-et-societe/prearrangements.htm Entrevue au Fils de qui son père a décède
Lui m’a raconté que-il et sa mère ont choisi le complexe funéraire , mais sa mère elle a le pouvoir de décision pour le choix, ils ont choisi le plus prochaine à son maison , ses parents déjà une budget pour le arrangement funéraire , mais il m’a dit que quand il décède il dépensera entre 4 mil a 5 mil dollars , le choix pour son père a un attachement culturel et familial , ils ont la tradition de faire le arrangement funéraire avec la inhumation de le corps du défunt , par ailleurs son père a laissé le budget pour les dépenses funéraires de 10 mil