situation psy
Lors d'un stage en maison de retraite, j'ai été amené à m'occuper tous les matins de la toilette d'un secteur de résidents. Parmis eux, se trouvait une dame, que nous appellerons Mme M., agée de 65 ans, victime d'un AVC il y a peu de temps et qui a eu pour conséquence une hémiplégie.
Elle était veuve depuis deux ans, vivait seule dans une maison sur deux étages: chambre et salle de bain à l'étage, et cuisine et salon au rez-de-chaussée. Elle avait donnée naissance à une fille, âgée de 41 ans et des petits- enfants qu'elle voyait très rarement puisqu'il habitait assez loin ( environ 2 heures de trajet jusqu'à la maison de retraite).
Mme. M a eu un accident vasculaire cérébrale il y a environ 6 mois, et suite à une longue période de convalescence, elle gardera pour conséquence un handicap: une hémiplégie de la partie gauche de son corps. A ce jour, Mme M est en maison de retraite depuis 2 mois.
Mon premier jour de stage fut ma première rencontre avec cette dame. J'étais alors accompagné d'une aide-soignante et nous venions pour l'aider dans ses soins d'hygiène et la mise au fauteuil. Son nouveau cadre de vie, si je puis dire, était une petite chambre de 25 m² avec quelques commodes et une télévison.
Les deux premiers jours de stage, j'ai été améné à collaborer dans mes soins avec une aide-soignante. Mme M. est une personne très sympathique et, dès notre entrée, engager d'elle-même la conversation. A ce moment là, il est 10h30: la résidente regardait la télévision dans un noir obscure: les volets étaient encore fermés.
Dès lors l'aide-soignante, se pressait, la discussion ne tournait finalement qu'autour