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Victor Hugo né en 1802 à Besançon et mort en 1885 à Paris. Il est considéré un des plus grands représentent de la littérature française et du romantisme. Aussi, il écrit dans les trois genres : roman, poésie et théâtre.
En fait, ce poème est un extrait de l’œuvre « L’Art d’être grand-père » (1877).
De plus, Victor Hugo est un des plus grands représentants du Romantisme. Ceci est un mouvement littéraire et artistique en rupture aux règles, le gout et les beaux classiques et il est caractérisé par la sensibilité, un désir d’évasion et par l’importance du « Moi ».
Par ailleurs, le thème est l’affection du narrateur par rapport à une fille.
Quant au genre, il est une poésie parce que nous observons la structure habituelle d’un poème : vers, rimes…
En outre, nous analyserons ce poème à travers de l’étude des axes avec leurs champs lexicaux et ses figures de styles.
Maintenant, nous remarquerons l’intention
Par rapport à l’intention, l’auteur veut montrer les choses pour lesquels la vie est la plus part du temps belle, en remarquant la innocence de la fille.
En ce qui concerne le ton, ce poème a une tonalité lyrique, la plus utilisé dans les poèmes, par la présence des champs lexicaux, la musicalité…
En référence à la structure, cette poésie a une seule strophe avec seize vers de douze syllabes, c’est-à-dire des alexandrins. Aussi, la rime est embrassées (ABBA) jusqu’à le vers sept, après la rime est suivie (AABB).
De surcroit, l’énoncé est coupé parce que nous observons la troisième personne. Par ailleurs, le narrateur est en troisième personne est il est omniscient. Après, les destinateurs sont les lecteurs parce que c’est une œuvre littéraire et donc c’est atemporel et universel. Par rapport à l’espace, le narrateur nous décrit un lieu imaginaire : « arbres célestes… ». Le temps, est le présent d’énonciation : « est, dort… » et aussi le conditionnel présent : « prendrait, apparaît… ». Après nous observons un modalisateur au sixième