Sans titre
Il existe plusieurs clichés en parlant de ces jeux. Les plus courantes sont que personnes ne gagnent, que ce marché n’est qu’une arnaque des grands casinos pour s’enrichir mais nous allons faire la lumière sur ce sujet.
Les gains
Bien évidemment, si vous êtes un joueur aux jeux d’argents, vous avez déjà perdu au moins une fois, les gains sont beaucoup plus rares que les pertes mais ils existent quand même, exemple : Un homme a gagné une somme qui s’élève a plus de 140 000 euros l’an dernier au casino du Saint Denis (Résultat obtenu lors d’un entretien, Voir annexe).
Les pertes
Certains joueurs, lors de pertes consécutives, s’arrêtent de jouer et passe a autres choses pour ne pas perdre plus d’argents, mais il a y des exceptions. Ces joueurs continuent à jouer et n’hésiterai pas à jouer leur salaire ou bien plus encore leur maison, On les appelle les joueurs addictifs.
Qui est concerné ?
Les joueurs pathologiques représentent près de 2.1 % de la population mondiale. En comparaison, les accros aux drogues illégales représentent 6-8 %, à l’alcool 8-10 % et au tabac 25 %. On pourrait évaluer que 1 client de casino sur 10 est dépendant au jeu. Nous pouvons tous (majeur) être toucher par cet addiction, il suffit juste d’un déchirement dans sa vie pour y parvenir (Divorce, deuil, licenciement…) et ceci, à partir de n’importe quelle âges à partir de 18ans.
Comment reconnait-on un joueur addictif potentiel aux jeux d’argent ?
Un psychologue canadien, Guy Lenoir, a pu noter un profil psychologique caractéristique et à haut risque du joueur pathologique.
• intelligence supérieure,
• haut niveau d’énergie,
• remarquables capacités sportives,
• caractère hautement compétitif et goût du risque,
• succès professionnel et acharnement au travail,
• manque de loisirs ou de hobbies,
• attirance pour les situations hautement stimulantes,
• enfin, seuil bas de tolérance à l’ennui.
A quel moment un joueur est-il