Salman rushdie
1. « Lorsque nous tombons amoureux d’un livre, celui-ci laisse son essence en nous, telles des retombées radioactives sur un champ cultivé qui ne donnera plus de récoltes habituelles mais où des plantes inconnues et fantastiques se mettront à pousser ».(l.20 à 24)
Salman Rushdi établit une analogie entre un livre dont nous tombons amoureux et les effets de retombées radioactives , d’abord dévastateurs mais qui donneront lieu ensuite à des choses nouvelles et sans doute fabuleuses.
En effet, comme dans une explosion nucléaire, la première conséquence à la lecture d’un livre qui nous passionne est une destruction en ce sens que la nature profonde de notre être s’en trouve modifiée. Une part de nous peut même disparaître si la lecture nous amène à renoncer à nos principes, nos opinions ou à reconsidérer certains de nos préjugés.
Mais de même qu’une bombe, les ravages laissent la place au renouveau, une renaissance.
2. Selon Salman Rushdi, les origines de la littérature sont religieuses . Les nombreuses histoires, contes et récits des dieux sont la source de la littérature, et à la base de la mythologie.
3. Salman Rushdi réfute les lecteurs de futurologie car pour lui, ils ne sont pas porteurs de vérité.
4. Le livre possède le pouvoir de changer la société (l.63 et 64), en transformant les consciences et en changeant les mentalités. Pour exemple, la vision sur l’esclavage avec le livre bouleversant « la case de l’oncle Tom « .
Les livres peuvent être aussi à l’origine de réformes ou de lois (comme les réformes législatives sur l’enfance, influencées par les écrits de Charles Dickens), et ils conditionnent la culture ( par exemple, le phénomène « Harrty Potter »)-(l. 72 à 80)
Parce que c’est un moyen de communication, le livre est une source d’information qui permet par exemple de découvrir des pays et s’imprégner de cultures que l’on ne connaît pas (Nurrudin Farah