Rédaction utopie 2nde
J'ai décidé de quitter mon rêve, j'ai décidé de quitter Disney. Partir est vital. Ici j'étouffe, je me sens prisonnier de mon propre idéal. Où je vais allez ? Je ne sais pas, mais une chose est sure, plus jamais je ne reviendrais.
Voilà 2 semaines que je suis arrivée, j'ai immédiatement été impressionnée par ses immenses palais, ces parcs majestueux, ces grandes allées pavées de belles pierres roses.
Les gens ici m'ont accueillis comme si j'étais de leur famille. J'ai pu observer que tout le monde paressait heureux et s'émerveillent d'un rien, comme la pousse d'un nouvel arbre, ou même le reflet d'un parterre de fleurs dans un ruisseau, tout était magnifique, poétique et prétexte à célébrer.
Le dirigeant de cet état est un roi à tête de souris, il est bon et généreux, friand de fromage et de manèges à sensations. Son royaume en est d'ailleurs rempli, pas un parc, une rue, sans trouver une de ces attractions infantiles destinées à la population.
Cela me rendit heureuse près d'une semaine, j'essayais tous les manèges, goûtait toutes les sucreries, ensuite, peu à peu, je me mit à me rendre compte que tout ceci n'était qu'artifices. Oui le ciel était tout le temps bleu, mais c'était car ce n'était pas le ciel, mais une immense toile peinte tendue de tous les côtés de l'état. Et les mélodieuses voix des oiseaux qui résonnaient dans les rues, de simples hauts parleurs.
Ce monde est trop parfait, aucuns défauts, aucunes révoltes ou guerres, ici, personne ne meurs, il n'y a aucun mal nul part, mais le pire, c'est l'ignorance de ce peuple sur ce qui se trouve en dehors de leur état. Je ne peux m'empêcher de penser à ce que j'ai laissé derrière moi en entrant ici, je me questionne sur ce qu'il ce passe dehors, quels événements ont eu lieux depuis mon arrivée.
Ces jours-ci, je me promenais dans le parc, et je me suis rendue compte avec horreur qu'aucune sortie visible n'existaient, je suis prisonnière est le seul moyen de sortir est de déchirer la toile