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Le Cogito, Descartes 30-2 Descartes précise le sens de son doute artificiel ou extrême. Descartes a pour volonté d’accéder à une certitude fondée lorsqu’une idée résiste au doute extrême. Descartes a donc la prétention dans son esprit une idée qui s’impose à lui et face à laquelle il doit s’incliner ou se soumettre. Le sujet humain est cap à la fois d’être libre, sans influence, et d’admettre une vérité. Dans le parcours de Descartes, une première vérité est affirmée, c'est-à-dire qu’elle se découvre ou se dévoile à partir d’une réflexion.
Lorsque Descartes pense à l’acte de douter, c'est-à-dire lorsqu’il réfléchit à cette forme de pensée particulière qu’est de douter, il est forcé de reconnaître qu’une idée ne peut être remise en doute. Cette idée est celle de sa propre existence comme sujet qui est entrain de douter. Pour Descartes, la vérité fondamentale de la philo (la 1ère en tt cas) est le cogito, c'est-à-dire le caractère indéracinable de sa propre pensée critique.
La philo de Descartes est une philo de la solitude, il estime que le sujet humain n’est pas juste différent de tous les autres sujets humain, le sujet H est fondamentalement seul, et lorsqu’il vit en société, il ne peut ignorer qu’il est fondamentalement seul dans la mesure où ses choix dépendent de lui. L’accès à la vérité est fondamentalement une activité solitaire. Au 20ème siècle, Merleau Penty adresse une critique à la philo de D. MP remarque qu’il fait usage du langage, or le langage est une réalité indéracinable et ne met pas en doute le langage. MP souligne ainsi que Descartes ne reconnait pas que la volonté de penser par soi-même ne peut pas se séparer de la relation que l’on entretien aux autres car si l’on veut penser par soi-même, c’est pour modifier la relation que l’on entretien aux autres. Lorsque l’on considère qu’une idée est vraie, on n’est jamais entièrement enfermé en