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Dans « Le gone du Chaâba », on comprend qu’il y a énormément de misère, aussi bien au Chaâba qu’à la Duchère.
1. La misère au Chaâba :
Au Chaâba, les accrochages sont fréquents parce que chacun veut de l’eau potable ainsi que pour se laver, le seul point d’eau du bidonville étant une pompe manuelle qui extrait de l’eau du Rhône.
Les portes sont en bois.
Les jeunes cherchent des employeurs au marché qui pourraient les payer en contrepartie de leur aide. En travaillant ainsi pendant une matinée, ils gagnent au maximum 1 franc 50. Azouz se sent riche alors qu’il n’a reçu que 50 centimes.
Quand un camion de poubelles passe pour jeter toutes ses ordures, c’est le bonheur pour tous les villages ; toutes les mères envoient leurs enfants courir derrière ce camion pour arriver le premier là où celui-ci vide ses déchets afin qu’ils en ramassent le plus possible.
Enfin, quand Bouchaoui lègue toute sa richesse mobilière à la famille d’Azouz Begag, cette dernière se compose d’une vieille armoire aux angles mal équarris, rongée par les mites, d’une table plus lourde de crasse et de couches de peinture que de bois, de deux chaises boiteuses dont l’osier a disparu et qu’on a remplacé par du contre-plaqué.
2. La misère à la Duchère :
On voit qu’à la Duchère la misère est aussi présente car, même si la maison est mieux que celle du bidonville, elle ne possède que deux minuscules alcôves sans fenêtres et il n’y a pas de salle de bain. A la Duchère ils doivent payer des impôts, ce qui ne leur laisse presque plus d’argent pour pouvoir manger.
3. Le fait d’avoir déménagé à la Duchère facilite-t-il leur intégration ?
Déjà qu’au Chaâba, la famille d’Azouz était isolée du monde, à la Duchère, sa mère n’arrive vraiment pas à s’intégrer ; elle passe la plupart de son temps seule, à tel point qu’elle prend l’habitude d’aller chercher ses enfants à l’école. Le père, de son côté, retourne souvent au Chaâba, car il s’y sent beaucoup mieux qu’à la