Travail coupe du monde Rio
1er paragraphe : enjeux politiques et monétaires
Tout d’abord, Rio de Janeiro est extrêmement en retard dans la construction de ses stades pour la coupe du monde de soccer de 2014. Cependant, le gouvernement affirme pouvoir être prêt pour l’ouverture en jeux en juin. Celui-ci a investi plus de 26 milliards de reals (environ 8 milliards de dollars.) Dans le développement et la rénovation des infrastructures de ses stades de soccer pour recevoir la coupe du monde. Après, avoir investi des milliards dans cet événement mondial, le Brésil espère ainsi avoir des retombés économiques importants pour ouvrir le pays au commerce entre pays et développer le pays de l’intérieur et ainsi devenir une destination pour les voyageurs. Le gouvernement brésilien ne peut se permettre de perdre les investissements qui ont été engendrés pour la coupe du monde. Cela créerait au Brésil une dette monétaire qu’il ne pourrait rembourser. En plus d’éliminer le Brésil comme hôtes pour de grandes occasions, du fait qu’il aurait annulé quelque semaine avant. Aucune organisation ne veut investir avec un pays qui annule un événement d’une telle envergure quelque semaine avant. Le gouvernement perdra alors toute chance d’avoir des contrats avec des organismes mondiaux.
Deuxièmement, le Brésil sera prêt pour la coupe du monde de soccer, car les enjeux politiques et monétaires sont trop importants pour envisager une annulation. Mais à quel prix, pour le peuple brésilien. Le gouvernement brésilien a pris des dispositions pour assurer la sécurité des futurs voyageurs qui viendront pour assister à la coupe du monde. Des groupes de jeunes policiers mieux payés que les policiers réguliers ont été envoyés dans les favelas afin de garder les quartiers qui entourent les stades où auront lieu les parties de soccer plus sécuritaire pour les spectateurs. Grâce, à cette initiative, d’après les organisateurs les quartiers seraient maintenant sécuritaires, accueillants