Depuis l’ère de la décolonisation, la France a toujours gardé des liens étroits avec ses anciennes colonies que ce soit le Sénégal, le Cameroun ou le Québec. Encore aujourd'hui ses anciennes colonies ont gardé un héritage exceptionnel de leur mère patrie; la langue de Molière. Dès lors, ces relations dites particulières entrent ces « États » et la France a amené plusieurs personnes à se pencher sur le sujet. C’est ainsi, qu’un universitaire diplômé des hautes études internationales de Genève, Frédéric Bastien, maintenant professeur à l’Université du Québec à Montréal et également journaliste pour l’Agence France-Presse, le Devoir, la Presse et l’Actualité; a décidé d’écrire un livre « Relations particulières : la France face au Québec après De Gaulle », où ces relations particulières tissées au fil des années et surtout après le passage du Général de Gaulle deviendront un enjeu important dans la politique française. Pour débuter, ces relations particulières entre la France et le Québec après De Gaulle n’ont pas toujours été particulières; encore moins avec son État fédéral, le Canada. Ce devoir de la France envers le Québec qui est la seule représentation francophone en Amérique amènera les présidents de la France a joué des pieds et des mains dans le système gouvernemental canadien avec l’idée émergente d’indépendance dans la seule province entièrement dite francophone du Canada et l’héritage gaulliste parfois pesant que laisse derrière lui Charles de Gaulle, cette phrase célèbre dite du haut d’un balcon à Montréal le 24 juillet 1967 « Vive le Québec libre ». Par la suite, en 1968, est alors élu au pouvoir le dauphin du Général; Georges Pompidou. Tout au long de son mandat en temps que président de la République française, il suivra les traces de son mentor, tout en évitant les initiatives rocambolesques, en essayant de garder les relations franco-québécoises au premier plan par rapport au gouvernement fédéral sans pour autant dénigré les relations