relationnel
Le patient faisait les cent pas, l’impression du soignant était de voir un « lion en cage », « une bombe à retardement » qu’on ne pourrait bientôt plus contenir. Le visage de Mr X exprimait de la colère. Après avoir échangé des formules de politesses, il dit à l’infirmière ne pas comprendre cette situation. Pour lui, il devait être hospitalisé juste pour faire un bilan, que son problème de santé était lié à son activité professionnelle, ce qui provoque chez lui une certaine fatigue. Il ne comprend pas pourquoi on l’enferme dans une chambre. Mr X estime qu’il n’a pas la tuberculose : « je ne peux pas avoir la tuberculose car si j’avais la tuberculose, ma famille serait malade et ce n’est pas le cas ». L’infirmière lui a répondu qu’elle entend ce qu’il dit et qu’elle comprenait la situation. Elle lui expliquait les risques et les conséquences de la tuberculose et donc les précautions à prendre pour lui et sa famille. Elle lui informe quand attendant il pouvait recevoir de la visite, qu’il pouvait sortir pour descendre dans le hall ou se promener dans le jardin en portant un masque chirurgical et qu’il pouvait également avoir la télévision à sa disposition. Ensuite elle lui demanda s’il aimait lire. Le patient me répondit qu’il préfère les mots croisés mais qu’il ne pouvait pas en faire parce qu’il n’avait pas de gomme, ce qui occasionnerait trop de ratures dans son livre. Après avoir pris ces paramètres et vérifier les traitements personnels du patient, l’infirmière s’en alla chercher un masque et sa gomme personnelle pour les lui donner.
En entrant dans la chambre du patient à midi, l’infirmière constata