registre des armes à feu
Premièrement, Je suis pour le maintien du registre des armes à feu car il s’avère être un outil efficace pour les policiers lors de leurs enquêtes. En effet, tous les corps policiers au pays indiquent que ce registre est utile. Ils y ont effectués plus de 6.3 millions de recherches depuis 1998. Ce qui équivaut à 5 000 consultations par jour ! Il est donc plus facile pour les officiers de la paix de retracer un criminel sachant l’arme qu’il a utilisé lors de son infraction grâce à ce répertoire qui se constitue d’environ 1.9 millions de permis. De plus, ce registre responsabilise les propriétaires, qui doivent disposer avec soin d'une arme enregistrée à leur nom. Donc, l’abolition ce répertoire serait une grande perte pour les policiers.
Deuxièmement, je suis contre cette abolition parce que, depuis la création du registre, la majorité des crimes, décès et blessures par armes à feu ont baissé significativement. Selon le bureau du coroner du Québec, les crimes perpétrés avec des armes à feu sont en déclin contrairement à ceux commis avec les autres types d’armes. Le taux d’homicide avec armes à feu a diminué de plus de 40% depuis 1991 ainsi que le taux de meurtre avec une carabine qui a chuté de 70%. De plus, les demandes de permis sont examinées plus minutieusement depuis l’adoption de la loi c-68. Les nombre de refus s’élève à 20