Reflexion sur la societe
Si on me demandait par quel miracle je sais tous les faits que je vais raconter, je répondrais que je les sais, un point c'est tout. Je les sais, parce qu'ils me sont familiers comme le soir qui se couche et le jour qui se lève. Parce que je veux les faire parler, les faire entendre . . .
Si seulement l'on pouvait, juste une fois tout recommencer. Ou bien tout reprendre du début. Si les retours en arrière étaient réels. Tout serait plus simple.
On pourrait effacer les erreurs de l'homme qui font de ce monde, un monde loin d'être parfait. On pourrait éviter toutes ces violences, ces peines. .
Si on ne fait rien, si on ne se méfie pas, la terre deviendra, ou plutôt restera une poubelle. Nous serons peu à peu envahis par les déchets, les gens continueront à se faire la guerre, la famine sera toujours présente. Les « petits africains » garderont leur avenir d'enfants soldats. Jamais ils ne connaitront la « joie » de courir après un ballon. Il y aura toujours autant de mendiants, même voir plus, qui espèreront gagner quelques pièces en jouant de la musique. L'espoir, le combat face à la maladie disparaitront. Coups de têtes, révoltes, bagarres, cris, sang, peur. Ces mots seront devenus des mots communs, banals et paraitront normaux, essentiels.
Chacun continuera à être égoïste, insensible. Et tant d'autres adjectifs pour définir, l'Homme qui fait de ce monde, un monde sans amour, sans compassion.
Le monde deviendra funeste.
Quand je serai grande, je serai non pas astronaute comme la plupart des enfants, ni coiffeuse ou autres