Le rêve est profondément personnel et intime. Le rêve de l’un n’est pas forcément le rêve de l’autre et par conséquent, la personnalité, le caractère, les désirs, les valeurs de chacun s’expriment à travers ces rêves. Ce qu’ils ont de commun est de donner un caractère forcément positif pour le rêveur. Le rêve est le sens contraire du cauchemar.
Tous les rêves n’ont pas pour vocation à être réalisés. Certains sont des objectifs à atteindre alors que la fonction de certains autres est de rester à l’état de pensées lumineuses (et parfois délirantes) éclairant un quotidien « morose ».
De ce fait, le rêve est –il un outil pour dépasser et sublimer le quotidien des rêveurs ? C’est ce que nous allons étudier au cours de cette argumentation.

I) Dépasser le quotidien

- Le rêve est dans certains cas un moment de liberté, un temps de pause pour réfléchir sur soi-même et sur le monde, il conduit parfois à une démarche philosophique. C’est le moment par excellence où l’on peut remettre les choses en question car on les voit autrement.

- Le rêve peut aussi être une échappatoire à une vie terne, il entraîne le rêveur dans une vie parallèle et le déconnecte de la réalité. Ce moment est le seul espace de liberté que réussissent à garder les hommes qui souffrent d’une vie morose et laide.
Nous retrouvons le rêve de partout, comme par exemple, le rêve de richesse due au hasard, comme nous pouvons voir dans la publicité de la française des jeux (publicité du loto).
Cette forme de rêve peut lorsqu’elle, prend une place trop importante et lourde, conduire l’homme à rêver sa vie plutôt qu’à la vivre

II) Sublimer le quotidien

- Le rêve peut être un projet personnel d’une chose que l’on désire et que l’on pourra peut-être atteindre si l’on agit pour cela, si l’on y travaille. Les sportifs, mais aussi les chefs d’entreprises commerciales… poursuivent souvent un rêve qu’ils essayent de réaliser.

Cette forme de rêve peut toutefois être contreproductive