question corpus
Tout d'abord nous allons aborder la présence du narrateur dans les 3 textes, « Épître au Roy » 1527 de Clément Marot, « Traité sur la tolérance chapitre 1 » 1763 de Voltaire, « L’Étranger, 2e partie chapitre 4 » 1942 de Albert Camus. Nous pouvons remarquer que dans le texte de Marot et celui de Camus le narrateur parle à la première personne du singulier où les destinataires sont respectivement Le Roi protecteur et le lecteur. Par exemple au texte de Marot vert 6 « Si vous dirai comment je fus surpris « ainsi que le texte de Camus ligne 1 « Et j'ai essayé d'écouter encore parce que le procureur s'est mis à parler de mon âme. ». Il n'empêche que pourtant nous pouvons dire qu'il y a des différences entre ces deux textes. En premier lieu au texte de Marot nous pouvons dire que ce texte est subjectif car le narrateur, l'auteur, la victime donc le personnage sont une seule personne, c'est donc une autobiographie. Dans le texte de Camus nous pouvons faire ressortir le fait que c'est Meursault le personnage et la victime qui parle à la première personne du singulier, néanmoins il retranscrit les paroles du procureur, par exemple ligne 6-11 « il » c'est le procureur nous pouvons donc dire que c'est la voix narrative. Nous pouvons aussi ajouter que le genre de ce texte est un roman argumentatif indirecte car le discourt direct et indirect sont présence avec les guillemet.
En dernier lieu dans le texte de Voltaire nous pouvons constater que le narrateur parle à la troisième personne du singulier par exemple ligne 1 « Il paraissait impossible que jean Calas. » nous pouvons aussi affirmer que c'est un texte objectif. Dans le texte « il » est une tournure impersonnelles. Nous pouvons en conclure que dans ce texte Voltaire cherche à nous convaincre par des preuves, des faits logique ligne 6 « Mais cette supposition était encore aussi absurde. »