La vie, un sujet si beau qui inspire plusieurs à fonder une famille. Pour ainsi dire, certaines personnes voient dans la sexualité non seulement un acte pouvant apporter un plaisir physique et un plaisir psychologique, mais bien aussi des petites joies de la vie telles que des enfants. Une majorité d’entre eux accepte le fait d’avoir su donner la vie dans n’importe quelle situation, tandis que d’autres ne sont point aussi reconnaissant. Suite à l’émancipation de la place de la femme au sein de la société, ces dernières ont su gagner plusieurs droits tels que le droit de vote, l’égalité et le droit de disposer de son corps entièrement. Par la disposition de son corps, la femme peut donc décider de régler son choix en donnant ou non la vie. Le droit qui sera discuté ci-dessous, concerne l’avortement, plus précisément sa limite d’accès. La question que l’on se pose donc est la suivante : L’accès à l’avortement devrait- il être limité? Cette analyse sera inspirée de l’école de pensée béhavioriste et celle du cognitivisme. Nous discuterons d’abord des troubles et répercussions psychologiques que la femme peut développer après un avortement. Ensuite, il sera question de sa vie sexuelle pour enfin finir avec son comportement à l’égard des enfantsL’avortement peut s’avérer défavorable dans une grande majorité des cas en ce qui à trait à la santé mentale de la femme. Plusieurs chercheurs affirment qu’après l’avortement, la femme peut subir beaucoup de problèmes sur le plan émotif. En effet, cette opération peut lui paraître bénéfique au départ et dépendamment de sa situation, cependant elle court un risque élevé de tomber dans le syndrome post-traumatique de l’avortement. D’ailleurs, selon le Dr Philip Mango, un psychiatre s’étant spécialisé dans ce domaine affirme : « Ces troubles sont insidieux : perte de l’estime de soi, culpabilité, troubles de l’appétit, anxiété, insomnies, cauchemars sur leur bébé qui les hait ou qui les appelle au secours, dépression parfois,