Protection sociale et l'éxplication du livre "sécu : objectif monde: le défi universel de la protection sociale" de martin hirsch
Apres la deuxime guerre mondiale nottament les pays Europens ont invanté des systèmes de protéctions socials pour empecher les crises socials. En France par exemple on empeche quelques risques comme la vieillaisse ou la santé. C'est l'Etat qui s'occupe de la protection de ses citoyens avant c'etait la famille elle meme qui prenait en charge sa propre protection en cotisant elle meme. Ou bien il y avait des églises par exemple qui aidaient les gens en difficultés avec la charité. Maintenant c'est l'Etat qui prend en charge de ces citoyens. Depuis les trentes glorieuses la protection social a bien évaloué mais depuis les années 90 elle est mise en question. On va voire pour quoi à la suite.
Differants logiques de la protection sociale
La premiere a été lancée par Lord Beveridge en Angleterre. Son systéme est universel .Tout le monde a des droits d'assurances que ca soit sa situation familial ou son salaire. Selon ce systéme les médecins sont des fonctionnaires par exemple et ils s'occupent de tout le monde sans distinction.
La deuxième logique est Bismarkiens.Selon ce système il y a la cotisation pour assurer la sécurité aux ouvriers, en donnant l'acces à la santé aux prolétaires etc. Mais le coté inégalitaire dans son système c'est que ce qui ont gagné plus pendant leur jeunesse il profiteront plus pendant leur vieillaisse. Mais ce qui n'ont pas eu le moyen de gagner beaucoup quand ils etaient jeuns, ils sont condamnés à vieillir dans le misère en quelque sorte.
En France le système adopté est le deuxime c'est à dire Bismarkien. Mais il y a un peu de modèle Beveridgien aussi. Nottement en ce qui concerne la santé tout le monde a le droit de béneficier égalitairement des médecins, des hopitaux etc. Donc il y a un effort pour réparer le système Bismarkien.
L'autre logique c'est libèral. C'est le cas aux Etats-Unis. L'Etat s'occupe de ses citoyens le minimum possible qu'il le peut particulierement en ce qui