Promouvoir la vie
Une politique par économique :
Ce sont les politiques de santé qui mettent l’accent sur la régulation et l’évaluation du marché des soins.
Pour qu'il ait marché véritable, il faudrait une concurrence pure et parfaite entre les professionnels de santé; mais selon Milton Friedman (économiste américain, prix Nobel d’économie en 1976, principaux livres : Capitalisme et liberté ; la liberté du choix) :
Les caractéristiques du système de la santé font que la santé n’est pas un marché de concurrence pure et parfaite, car :
La maladie est un risque imprévisible; les individus s’assurent contre ce risque. Il y a asymétrie d’informations entre le malade et le médecin (ce n’est pas une relation producteur-consommateur). La médecine, les soins les services sont soumis à de nombreuses réglementations. Le fait d’être assuré, contre le risque de la maladie crée une inflation, la demande de soins étant solvabilité. Le nomadisme médical; il n’y a plus de frein à la consommation.
Savez-vous qu'au travers de la mort, des assurances permettent aux enfants de poursuivent leurs études en cas de défaillance ou disparition (mort) des parents. Devons-nous trouver choquant, que des parents puissent se prémunir, et ou protéger leurs enfants contre tous phénomènes sociaux inéluctables.
Ainsi devons-nous rejeter les mutuelles, qui sont des assurances sur la santé, ou plus précisément sur la maladie.
La liberté du choix : impose aux êtres responsables de prendre des dispositions pour ses proches et soi, même si je conviens que cela puisse choquer, un esprit non préparé et rationnel.
Pourquoi en Eco parle-t-on du Capital Humain ?
Les garanties obsèques sont proposées et souscrites par de plus en plus de français et le secteur des assurances vie se portent très bien.
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